starboy.

starboy. · 03/11/21, 01:06 am

argès
vasilios

in the dead
of the night
i am guided by light

001.
origination002.
chapters 003.
player

trigger warnings / content warnings — sexe, violence, mélancolie, mort (suicide), deuil, relation toxique (manipulation & chantage affectif), dépression, peur de l'abandon, instabilité émotive, auto-destruction.

prénoms, nom — argès, le foudroyant, l'électricité sur le bout de la langue, les frissons tonitruant des éclairs qui s'éveille tout contre la carne et font danser dans ses veines, une foudre aussi dense que fulgurante. vasilios, c'est l'héritage du feu, aussi solaire que cet astre qui gouverne les landes marines de leur petite île olympienne, des ruines comme mémoire, des voix oubliées, chantantes, dans le vent et le poids d'une couronne saillante, à la cime de son crâne. âge, date et lieu de naissance — il y a 27 ans, sur cette petite île oubliée au beau milieu de la méditerranée, Elpida, joyaux de l'espoir, île des flamboyants Vasilios, qu'il vit le jour. origines et nationalité — né d'un père italien et d'une mère grecque divorcés, à jongler entre les absences d'un père et l'éducation stricte de ses mères, au côté de son ombrageux frère, Ermès. greco-américain, la double nationalité depuis qu'il a quitté le nid de l'île perdue, là bas, de l'autre côté de l'océan, l'ambition dévorante au corps, des rêves de gloire, de toucher le soleil au risque de s'en retrouver brûler. mais hanté, habité, par les grèves immaculées de son enfance. métier, occupation, études — créateur, dessinateur et styliste de sa marque de haute-couture, venus, dénicheurs de muses, passionné d'histoire, à l'image de cette vieille et longue lignée dont il porte l'héritage dans ses veines. statut civil, orientation sexuelle/romantique — les hommes comme fascination, ce sont les mâchoires maculées d'ombres rugueuses, ces voix rauques, suaves, ces courbes toute en muscles nerveux, en angles ciselés, qui occupe ses nuits échaudées. le sexe comme un exutoire, pour mieux se perdre, se retrouver, l'amour en désillusion, le palpitant fêlé de blessures passées. c'est dans le flirt, les conquêtes vespérales, qu'il trouve de bref réconfort éphémère. traits de caractère — (fire and thunder) élégant, raffiné, autoritaire, aventureux, exigeant, nonchalant, chaotique, minutieux, pétulant, spontané, généreux, sensitif, ambitieux. argès, c'est la classe à l'italienne. brin de foudre toujours apprêté dans ses apparats sophistiqués, dans le contrôle, la morgue flamboyante, une contenance fière, presque hautaine, la langue féroce, charmeuse et enjôleuse. parce qu'il faut garder la tête haute, quand on tombe bas. jamais à reculer devant un défi de taille. aussi bien organisé, prudent, qu'intrépide et effronté. un masque de faux sourires et de rires hauts perchés. mais derrière le miroir, dans le gravas des fissures, une sensibilité à fleur de peau, un nid d'émotions fulgurantes qui ne vont que mieux s'entrechoquer à son palpitant dévasté. groupe — fantaisies. faceclaim + crédit — michael yerger by me, icons par : myself.

dernier rêve ou cauchemar de votre personnage — (rêve) au sommet du monde. en des temps archaïques, de mythes et de légendes. où les déités, effleurait l'humanité de leurs touchers salvateurs. c'est un jour d'été. un bon jour pour une nouvelle aventure, une nouvelle conquête. fier et conquérant, la morgue flamboyante, sur son destrier, à empoigner le crin de son cheval pour mieux filer dans la brise, chaude et épaisse. pour la rejoindre, elle, qui l'attend déjà, dans la prairie aux grenades. assise sur sa scelle et prête à partir, à ses côtés. et qu'il est doux, ce sourire, qu'il pose sur elle. amusé. lorsqu'il empoigne mieux ses rênes, prêt à s'élancer, l'azur de ses orbes rieurs.

« On y vas. »

et les voilà, que sans effort, ils galopent, vers de nouvelles aurores.

(cauchemar) warning : mort, violence, description graphique gore.

c'est ta faute, argès, ta putain d'faute.

les orbes bleutées, défait de la marque d'un azur clair, limpide, pour avoir laissé place à des abysses épouvantées, horrifiées, portée sur les tâches sanguines de ses mains tremblantes. des spasmes anarchiques, qui s'enroulent, tout autour de ce palpitant crevé d'abcès. là, face à lui, les prunelles moralisatrices d'un mort revenu à la vie. la peau bleutée, veinée de son agonie. et il suffoque, lorsqu'il s'avance vers lui, le pas déterminé. ne bouge pas, lorsqu'il fait se serrer ses doigts pâles autour de son cou, pour lui hurler ses maux. de ceux qui lui arrache des larmes amères, salées.

regarde c'que tu m'as fait. regarde.

et il regarde. dans le vide. paralysé. frappé d'horreur, de stupeur. condamné au fardeau de ces coups accusatoires. encore. et encore.

fantasme — désir de lumières, de reconnaissance, de gloire, d'outrances. la folie des grandeurs. des rubans lumineux, incandescents, caresse sa carne exaltée, comme autant de promesses euphoriques, de bonheur et de plénitude. nulle peur d'être délesté du poids de ces regards adorateurs. ils se font immortels. sublimes. grandioses. et puis une main salvatrice. douce et amoureuse, pour l'arracher à ses doutes.

It was an April morning when they told us we should go.
And as I turned to you, you smiled at me. How could we say no ?
Oh, the fun to have, to live the dreams we always had.
Oh, the songs to sing, when we at last return again.
— led zeppelin, achilles last stand..

sagittarius asc. leo
playlist.
moodboard.

afternoon in heaven.

du sable plein les orteils. du sel pleins dans ses boucles gorgées d'iodes. l'horizon se couche au loin, lentement, mais sûrement. avec ce soleil, qui viens nimber la mer, pour la couvrir de son manteau flamboyant, incandescent. les doigts pleins d'une glace dégoulinante, leurs deux petits corps qui se serre, assis, sur une serviette bien trop grande pour eux. il s'accorde trop peu de moments comme celui-ci. loin du manoir, loin des œillades rigides d'une maternelle exigeante. loin de l'avenir bien organisé, rectiligne, qu'on lui prépare. pour lui. pour ce qu'il doit être. jamais pour ce qu'il désir. ce qu'il a toujours souhaité, là, quelque part, dans ses orbes de gosses. alors quand elle viens, elle. c'est dans ces moments là, qu'il se retrouve. qu'il se cherche. le temps d'un petit moment, de quelques jours, arrachés à l'éternité.

your blood. warning : relation toxique, langage vulgaire.

sur le chemin du retour, il n'avait dit mot. à peine un regard adressé à son chauffeur. à peine une parole pour celui qui à ses côtés, à l'opposé des banquettes arrières, regardait fixement le vide des paysages défilants, des serpents de lumières des phares nocturnes. rien qu'un vide plat, lorsqu'ils avaient franchis la porte de ces portières pour se diriger vers le perron. un silence, étouffant. de ces moments où même le bruit des clefs s'enfonçant dans la porte, lui avait parut assourdissant. une agonie lente, mortelle. et toujours ce calme, inquiétant, dès lors qu'ils avaient pénétrer dans la bâtisse dorée, de celui qui précède la tempête. de celui qui annonce le déluge, les intempéries.

un silence terrifiant, algide. dès lorsqu'il s'était défait du carcan de sa cravate et que sans mots, la silhouette de son amant s'était coulée, un tire-bouchon entre les mains, près de l'un des plans de travail. la suite, il ne l'a connaissait que trop bien, argès. trop habitué. plus de soupir, alors qu'il dépose son pardessus au sommet boisé d'un porte-manteau. ce n'est que pour mieux fuir, s'arracher à cette vision, partir dans les corridors, loin de ce dénouement qui en découle, toujours. mais à peine éloigné, que sa marche s'arrête à la résonance d'un verre brisé, suivis d'un cri, qui s'arrache, comme un sanglot.

la nuit vas être longue.

t'sais c'est quoi ton p'tain de problème ? c'est qu't'es un enfant gâté. un putain d'gosse qui attend qu'tout lui r'tombe dans la main.

vas te faire foutre. me sors pas tes conneries moralisatrices. je sais à quoi tu joue, ça prend plus avec moi. c'est fini. tout ça. toute tes conneries, t'entend ? j'ai pas à payer les stupidités des autres connards qui t'ont fait souffrir. je veux pas être... ce foutu pansement.

t'supporterais même pas l'quart d'ce qu'j'ai vécu. t'sais même pas par quoi j'suis passé. c'que j'ai du faire, pour en arriver là où j'suis. t'as aucune idée d'tout ça. t'sais rien.

arrête-toi. maintenant. c'est fini. la conversation se stoppe là.

non, non, non. ça viens juste d'commencer. et toi, ton putain d'ego et ta fierté d'merde, vous pouvez bien allez vous faire mettre.

barre-toi.

babe, i'm gonna leave you. mort, deuil, dépression, alcool.

depuis qu'il est partis, il y a cette fragrance, qui hante les corridors de la bâtisse dorée. la sienne. qui parfois, épouvante encore ses draps. il y a toute ces ratures, au bureau, plein de ces papiers déchirés, roulés en boules, qui déborde d'encre, de croquis, de sketches, de par la poubelle. des silhouettes chimériques. fantomatiques. et parfois, il y a son ombre, brinquebalante, dans le dédale labyrinthique de ce foyer qui n'a plus la même saveur. même les couleurs brillantes des chandeliers paraît s'être amoindrie. certains, ne brillent même plus du tout. il y a encore ces vinyles de led zeppelin, qui tournent inlassablement, pour lui cracher toute sa mélancolie à la figure. qui le font danser, là, un peu hagard. les pas dans le vide, qui se posent, pas vraiment coordonné. dans le vague. le flou. et cette boule, qui monte, se coince à sa gorge, au rythme des paroles qui se déverse, qui le font peu à peu s'arrêter. planer. statique, sans vraiment l'être, tant son corps paraît tanguer sur du sur place. la tête qui tourne un peu. la faute à l'alcool, sûrement, cette bouteille qu'il a balancé, plus tôt, dans le salon. pour n'en laisser qu'un cadavre de verre, aux os translucides, décharnés. et bientôt, son verre connaît le même sort. qui vint s'éclater tout contre ces rideaux grisâtres. l'abîme au ventre, la rage qui palpite, là, tout contre ses entrailles. comme mise à nue. découvertes. ouvertes, à toute ces émotions qui viennent se font de fulgurants poings douloureux. et lorsqu'il s'élance, ce n'est que pour mieux venir arracher ces rideaux de leurs portants, s'acharner de coups saccadés sur eux. le souffle court, qui s'arrache à cette gorge, bientôt, en sanglots horrifiques.

putain, il détestait ces rideaux.

that leo bitch
âge, lieu de vie — 25 y.o, france. signe astrologique — lion ascendant sagittaire, lune en sagittaire (ouais, only fire and impulsivity, i know) starboy. 3278794119

type de personnage — inventé + pré-lien d'@Esraa Lekkas , the olfactor. chanson du moment — nothing but thieves - your blood comment tu nous as connu? — via didi. un dernier mot pour la route? — vs êtes toujours aussi fab. starboy. 3217184045

Re: starboy. · 03/11/21, 01:15 am

le voilà donc enfin starboy. 4121877780

un sagittaire, j'approuve +++, ça ne peut être qu'un chouette type. starboy. 3348043937

now gimme more, i'm waitin. starboy. 1712140873

Re: starboy. · 03/11/21, 08:19 am

ajhsajhsahjas j'ai vu le pseudo sur le qeel, j'ai guessed right away que c'était toi.
cette vibe de mythologie grecque à donf starboy. 1758394525

et ces tw/cw, i feel attacc on so many things. it ain't right (edit : t'inquiète ça me trigger pas, juste ça me parle beaucoup ahqahja)
en tout cas quel personnage !
rebienvenue chez toé.

Re: starboy. · 03/11/21, 11:59 am

non mais argès, cette beauté j'étais pas prête starboy. 1758394525

(c'est de famille bb) starboy. 629831189

et puis cet aes de professionnel, j'suis juste complètement sous le charme starboy. 1263913479

Citation :: au sommet du monde. en des temps archaïques, de mythes et de légendes. où les déités, effleurait l'humanité de leurs touchers salvateurs. c'est un jour d'été.

juste, perfection starboy. 3720973492

on a tant de chance d'avoir argès chez the senses, tu nous apportes tant de feels starboy. 2531848693

rebienvenue beauty starboy. 3016224439

Re: starboy. · 04/11/21, 05:32 pm

Omg, mais ce fc. starboy. 1546110376

Le pseudo, le personnage et tout ce qu'il dégage. starboy. 4003788254

Rebienvenue. starboy. 3814868033

Re: starboy. · 05/11/21, 12:55 pm

ce genre de perso bigger than life, j'adore starboy. 1239327806

rebienvenue ici petite crème starboy. 1445503956

Re: starboy. · 05/11/21, 02:26 pm

@Argès Vasilios @Daeshim Kitson Cette fiche est parfaite. Les mots usés, l'univers, je suis comblée mais ça ne m'étonne même pas venant de toi starboy. 708764567

totalement validé pour le pl starboy. 432053345

Re: starboy. · 05/11/21, 11:59 pm

elle est la, la validation!

toi et tes personnages. starboy. 3163534534

gimme more, never stop, c'mon.
encore une fois une très belle création de ta part. starboy. 1485681113

argès est tellement intéressant, j'ai hâte de voir où tu vas le mener et où lui va te mener dans l'écriture. starboy. 1415688793

je te valide avec plaisir, for the second time. starboy. 1445503956

guide pratiquel'étape de la validation est passée : une bonne chose de faite! mais avant de pouvoir te lancer à corps perdu dans l'aventure flight of the stars, on t'a préparé une petite to-do list - rien de bien extravagant, ne t'en fais pas. première chose à faire, c'est d'aller recenser ton personnage dans le registre des métiers et ensuite dans celui des logements. dans le cas d'un multicomptes, un petit passage par ce registre est également nécessaire.
une fois fait, tu peux désormais ouvrir ton journal de bord, faire un petit tour dans le flood et aller créer tes pré-liens si l'envie t'en prend.

pour passer aux choses sérieuses, sache qu'il y a quelques petits liens utiles qui peuvent t'aider dans ta quête! tu as une idée de lien en tête et tu voudrais la jouer avec quelqu'un déjà présent sur fots? pas de souci, tu peux te rendre sur le sujet de recherche de liens. si, a contrario, tu as envie d'un rp sans lien définit en avance, tu peux tout à fait faire une recherche de partenaires rp ou aller jeter un oeil à la liste des sujets libres.

have fun !

reality dreamland