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FLIGHT OF THE STARS base son gameplay sur la réalité et le monde onirique. — un rp par mois à faire recenser, pas de minimum de lignes. — respect d'autrui indispensable, sous peine de représailles. — merci de ne pas utiliser d'initales dans vos pseudos. — le forum se passant aux états-unis, évitez les accents dans vos pseudos également.
: rythme lent (rp le lundi + certains jours de semaine, quasi jamais le weekend, hospitality worker oblige en période de fête), dialogues en français et anglais (mostly), troisième personne du singulier.
· cw/tw
: sexualité, état dépressif/spleen.
· triggers
: on a qu'à en discuter ensemble.
eye of the shitstorm. · 01/11/21, 03:01 pm
daeshim kitson
kept me living from the last time from a prison of a past life
prénoms, nom — daeshim, le grand esprit. c'est beau, ça sonne bien. c'est un des rares souvenirs qu'il a pu garder de corée, après avoir acquis le nom de benjamin et aubrey kitson. âge, date et lieu de naissance — de ce qu'on a pu lui dire, c'est à séoul que daeshim a vu le jour, on suppose aux alentours du 26 octobre 1986. il a préféré ne pas fêter son trente-cinquième anniversaire, un peu trop rongé par ce qu'il peut ressentir à chaque nouvelle journée pour vouloir se concentrer sur le nombre de bougies sur un gâteau, ou les sourires que l'on aurait pu attendre de lui. origines et nationalité — adopté à l'âge de trois ans, il a hérité d'une nationalité américaine, comme le couple dont la signature a été apposée sur les différents papiers. pourtant, son sang est totalement coréen. métier, occupation, études — c'était un élève moyen en tout, daeshim. malin, même intelligent, mais qui ne se retrouvait pas dans le système scolaire dans lequel on le faisait évoluer. il n'a pas souhaité continuer dans une université après le lycée mais s'est vu accepté au boston conservatory at berklee, où on lui a offert l'opportunité de développer ses talents de pianiste. quelques années plus tard, adieu les rêves de grandeur. daeshim est devenu professeur de piano, et joue quelques soirs par semaine dans le restaurant du seven seas resort, sur le littoral. statut civil, orientation sexuelle/romantique — sa famille ne lui a jamais connu de relation même si elle a pu le supposer en couple à quelques reprises ; pas de visage souriant à côté du sien sur les photos, pas de main dans laquelle glisser la sienne, pas de jolie voix féminine pour les saluer lorsqu'ils se glissent chez lui. parce qu'il n'y a jamais eu de femme dans la vie de daeshim, et qu'il n'a jamais réellement trouvé le courage de faire son coming-out auprès de ses parents un peu trop pieux. à la place, il reste vague lorsqu'il fréquente quelqu'un, promet de présenter la personne si ça devient sérieux, trouve toujours des excuses pour que ça ne le soit jamais assez et retrouve finalement sa solitude, presque rassurante dans ces cas là. traits de caractère — de nature discrète, silencieux, daeshim est un observateur bien plus qu'il ne peut être acteur - même dans sa propre vie. ce que certains pourraient prendre pour un manque d'intérêt pour le monde qui l'entoure s'avère pourtant être un outil utile : grâce à ça, daeshim sait cerner son entourage au fil d'une discussion. curieux depuis sa plus tendre enfance, il nourrit sa curiosité par les livres, les renseignements plus "passifs" que des actions explicites, contrairement à il y a encore quelques années. pourtant, son amour pour l'apprentissage n'a, lui, pas changé. intuitif, il ne se fit qu'à son instinct, mettant en sourdine les sentiments et leur inconstances, ayant conscience que son esprit n'est pas la part la plus fiable de ce qu'il est. doté d'un humour un peu cynique voire noir, daeshim surprend par ce qu'il peut laisser échapper au détour d'une conversation, balayant la surprise des autres d'un haussement d'épaule. calme, il sera plus facilement blessé qu'énervé, quand bien même sa colère résonne parfois. il sait faire preuve de tendresse envers ses proches et reste pour la plupart de bonne compagnie, capable de refouler ses ressentis profonds et personnels pour les bienfaits d'une relation. groupe — nightmares. faceclaim + crédit — steven yeun // pics@pinterest, quote@louis tomlinson, kill my mind.
dernier rêve ou cauchemar de votre personnage — L'impression de le connaître ne le quittait pas. Jamais. Qu'importaient l'étendue des rêves ou le scénario prédéfini par son inconscient : il voyait presque toutes les nuits le même visage, les mêmes traits qui lui semblaient vaguement familiers sans pour autant en saisir toute l'ampleur, la même étincelle dans un regard fatigué. Why do you look so familiar ? il avait envie de lui crier, sans que le moindre son ne sorte de sa bouche, la gorge nouée sans pour autant qu'un sentiment d'inquiétude ne vienne l'accompagner. Rien ne faisait sens et, en même temps, tout le faisait. Daeshim n'avait pas besoin de nom, d'âge, d'adresse. Au fond de lui, tout au fond, c'était comme s'il avait obtenu les réponses bien avant de pouvoir s'en rappeler. Le prénom est coréen. Le nom américain, ou peut-être anglais. Like me. Il a les cheveux sombres, des poches qui se dessinent sous les yeux. Like me. Des traits fins, un sourire légèrement en coin, comme s'il n'avait pas la capacité de l'étendre sur tout son visage – ou comme si le monde autour de lui ne lui donnait en rien l'envie de le faire. Like –. Les voix résonnèrent autour d'eux, s'élevant d'une obscurité qu'il n'avait même pas réalisée avant cet instant précis. Il tourna la tête, regarda tout autour de lui pour chercher à comprendre d'où elles venaient et pourquoi elles se faisaient soudain entendre – Daeshim ne fit face à rien d'autre qu'à des ténèbres qui firent naître en lui un profond sentiment d'angoisse. Il inspira, se mordit l'intérieur des joues, tourna à nouveau la tête dans un mouvement si rapide qu'il entendit son hyoïde craquer entre ses cervicales. Avec une grimace, il chercha à porter sa main à sa nuque et fronça soudainement les sourcils. Il était seul. Jung-Eun... L'homme avait disparu. Les psaumes, eux, intensifiaient leur écho.
May God be gracious to us and bless us and make his face shine on us— so that your ways may be known on earth, your salvation among all nations. May the peoples praise you, God; may all the peoples praise you.
Tout devint noir.
fantasme —Ses mains. Tout est une question de mains, ou presque. Les siennes, épousant les touches de son piano, appuyant jusqu'à délivrer une mélodie de sa propre création, entre douceur et mélancolie. Daeshim ne joue pas, il vit sa musique, de la même façon que ne le laisse pas réellement la vivre lorsqu'il est éveillé. Sous l'impulsion de ses phalanges, les notes s'élèvent et son âme s'éveille, se blottissant dans l'équilibre étrange et précaire des sensations qui l'enserrent ; il trouve son bonheur dans l'expression de cette tristesse innée, qui l'habite depuis plus longtemps qu'il ne parvient à s'en souvenir de quelconque façon. Les litanies à l'abandon, il n'existe plus de barrière entre son esprit, son cœur et son piano. Le contentement est réel, tangible. Presque parfait. Presque. Et c'est là qu'il les sent. Posées sur lui, embrassant les courbes de ses épaules, venant chatouiller les muscles de sa nuque. Elles remontent, doucement, lentement. Derrière lui, il parvient presque à sentir le sourire en biais sans même avoir à le voir pour en connaître l'existence. Ses mains remontent, parce que tout est une question de mains, ou presque. Sans cesser de jouer, Daeshim tend son cou, frissonne au passage de la pulpe de ses doigts sur sa peau, redessinant les contours de ses veines alors qu'il ferme les yeux et se surprend à sourire. La mélodie reste constante, belle et d'apparence simple quand les notes, pourtant, se succèdent simplement avec une justesse difficilement égalable. Ses lèvres remplacent ses doigts. Il soupire et sent son corps s'abandonner aux assauts tendres du sien. Ses doigts viennent cueillir son menton, il sourit un peu plus et tourne la tête, rouvrant les yeux pour venir se perdre dans le bleu des siens. Il déglutit de tant de proximité et d'en vouloir encore plus – peu importe que les centimètres entre eux s'amoindrissent, ce ne sera jamais assez à son goût. Il a besoin de lui, alors que le rythme de la musique s'accélère en même temps que celui de son cœur. Leurs lèvres se frôlent et se caressent. Ils sourient tous les deux, s'embrassent, se découvrent. Ses doigts s'arrêtent alors qu'il se redresse mais la musique, elle, ne cesse jamais. Daeshim glisse sa main dans le creux de son cou, caresse sa peau avec autant de douceur que d'envie. Un frisson lui traverse le corps, remontant le long de son échine jusqu'à électrifier son cœur et, finalement, ses gestes se font plus pressés. Il l'attrape par son haut, soupire contre sa bouche. Sent ses mains se glisser sur sa taille, le déplacer puis l'aider à se soulever. Les touches résonnent en fausses notes sous ses pieds mais, maintenant assit sur son piano, Daeshim s'en moque. Il se moque de tout, du ren que représente soudainement le reste du monde alors que ses doigts cherchent toujours plus le contact de sa peau contre la sienne. La mélodie continue de s'emballer, gagnant en intensité. Il tend son cou, embrasse le sien. Et finalement, s'abandonne à lui, à eux, à la musique qui s'échappe de leurs gestes et de leurs lèvres, s'accrochant à ses mèches blondes et son regard céruléen.
Pour mercy, mercy on me, set fire to history I'm breakin' my own rules, I'm cryin' like a fool Tall stories on the page, short glories on the fade I been close enough to touch, but I never cared for love — louis tomlinson, only for the brave.
somebody to love me blue
my love and devotion
Jusqu'où pouvons nous inventer la carte d'une ville existante ? Depuis son réveil, Daeshim se questionnait. La journée avait été longue, parsemée de points d'interrogation qui l'agaçaient plus qu'ils ne nourrissaient sa curiosité ; il se sentait comme face à un mur, incapable de trouver les réponses qu'il cherchait. Pourquoi Séoul ? S'il ne se rappelait pas y avoir remis les pieds depuis son adoption par les Kitson, il savait très bien que c'était là dont il venait. Là où il était né, où il avait commencé à grandir, quand il ne parlait pas encore le moindre mot d'anglais que des sons gutturaux qu'il baragouinait dans un accent plus qu'approximatif, après de brèves lectures dans des journaux ou à la télévision. Probablement connaissait-il certains quartiers comme sa poche – on disait parfois autour de lui qu'il avait, enfant, la fâcheuse tendance à faire le mur parce que les lumières de la ville l'attirait comme un moucheron prêt à se brûler (comparaison peu flatteuse, qui ne cessa jamais de lui faire froncer le nez, mais dont il avait fini par admettre la véracité à l'aide de grognements mécontents). Mais pourquoi aujourd'hui, plus de trente ans plus tard, rêvait-il encore d'une ville dont il ne se rappelait rien de particulier autre que les images qu'il voyait dans des séries ou des films ? Il connaissait Séoul comme beaucoup connaissaient New York : à travers ce qu'on voulait bien leur montrer. Et son coréen, quant à lui, avait perdu beaucoup en fluidité, sa pratique se résumant à un dialogue régulier avec une famille des alentours et le cinéma de là-bas. Pourtant, cette nuit, ça n'était pas pareil. Il n'avait pas vu les quartiers les plus représentés de la capitale. Et du coréen, il en comprenait toutes les nuances, les accents, les tournures parfois alambiquées que ces gens, tous ces gens autour d'eux, utilisaient sans qu'il ne sache pourquoi. Peut-être n'était-ce que son invention ? Mais au fond de lui, Daeshim Kitson était persuadé qu'il s'agissait d'autre chose. De plus. Impossible de mettre le doigt dessus. Un instant, il ferma les yeux. Sur l'écran de ses paupières s'affichaient les traits et les sourires d'un homme qui lui ressemblait parfois, selon l'angle, la lumière, l'intensité avec laquelle il le regardait. Quelqu'un de familier, comme semblable à un souvenir, alors qu'il était persuadé n'avoir jamais croisé ce visage et les rides qui s'y dessinaient par endroits, fines et discrètes, mais trahissant peu à peu son âge. Il était là. Il était toujours là, quelque part, quasiment toutes les nuits. Who are you ? Sans qu'il ne le réalise, ses doigts s'agitèrent avec plus de rapidité sur les touches de son piano. La mélodie douce et d'ambiance qu'il jouait jusqu'alors se transforma presque en une hâte empressée, ramenant vers les lieux des regards dépréciateurs des clients ne souhaitant pas être dérangés en plein repas. Un raclement de gorge le ramena sur terre, ponctué des tapotements du pied de son patron mécontent. La main posée sur le couvercle du piano, Daeshim, tout en ralentissant la cadence de ses phalanges, se demanda s'il serait vraiment prêt à le refermer sur ses doigts en guise de punition. Il n'en fit rien, soupira, secoua la tête et s'éloigna. Oh hell yeah, let's be a disapointment here too then, il se murmura à lui-même lorsque, de l'autre côté de la salle, il l'aperçut. Son regard clair et bleu, ses mèches blondes, et le fantôme des sensations qu'il faisait naître sur un corps qu'il n'avait pourtant jamais ne serait-ce qu'effleurer. Daeshim sentit ses joues rougir, tira légèrement sur le col de sa chemise et détourna le regard, bien incapable de soutenir celui de Michael Shephard en l'instant. Another ghost haunting him, night after night.
post-scriptum et cabinet de curiosités daeshim fume depuis des années, et c'est bien là la raison pour laquelle sa voix, parfois, prend en gravité (principalement au réveil). — le piano, c'est toute sa vie. depuis qu'il est enfin, daeshim joue et surtout : daeshim maîtrise. les touches sont comme une extension de son corps, les notes, une de son âme. il se serait rêvé pianiste de spectacle, solo ou en orchestre. aurait tant aimé pouvoir grimper sur les plus grandes scènes, marcher sur les plus beaux parquets, simplement pour offrir à des gens venus le voir lui et lui spécifiquement une part de son âme et de ses créations. au lieu de ça, il se retrouve professeur de piano et pianiste d'ambiance sur une presqu'île un peu perdue. — daeshim n'est pas un homme heureux. il aura beau tenter de prétendre le contraire, sa vie ne lui convient pas et, depuis son plus jeune âge, il ressent un manque qu'il ne sait pas comment combler. comment est-il supposé remplir un vide dont il en connaît pas vraiment l'origine? alors, dans son regard, on y voit bien plus souvent une mélancolie impénétrable et qui ne semble pas vouloir s'effacer plutôt qu'une étincelle de bonheur. — il loue un appartement sur acorn street, qu'il partage avec un chat dont il n'a jamais réellement voulu mais qui, pourtant, semble s'être attaché à lui et à sa faculté à le nourrir dès qu'il pointe le bout de son nez. baptisé hector, le félin partage son quotidien dans le quartier le plus mouvementé de waredwell, là où daeshim s'offre l'illusion d'une vie remplie à travers les relents auditifs de celle des autres. — il ne se passe pas une seule journée sans qu'il ne joue du piano. possédant une oreille musicale très développée, daeshim s'entraîne depuis bien trop longtemps pour le dire à reproduire des mélodies simplement en les écoutant et a appris à exceller particulièrement en la matière. il adore faire des blind tests de musiques de films pour ses proches. — on pourrait le croire de nature solitaire mais il n'en est rien. discret, certes, mais daeshim a un fort besoin d'avoir des gens près de lui, même si sa maladresse sociale joue parfois (souvent) en sa défaveur. il aime rencontrer des gens, ne sait juste pas nécessairement comment leur parler, encore moins comment leur donner l'envie de rester dans son orbite.
kidd/faustine
âge, lieu de vie — toujours le même âge, toujours en angleterre. signe astrologique — sagittarius babe. type de personnage — inventé. chanson du moment — only the brave de louis tomlinson, ex i never had de lany. comment tu nous as connu? — please... un dernier mot pour la route? — j'espère que ce petit nouveau vous plaira.
· pseudo + pronouns : a leo bitch in versace. // il, elle.
· multicomptes : argès, the shinny, fancy prince of elpida.
· messages : 90
· age : 28
· heart affair : en couple libre avec rena, la folie du palpitant, la passion des nuits au bout d'une cigarette partagée, le chant de sa voix dans leurs âmes cosmiques.
qu'il est beau. qu'il est doux. qu'il est mélancolique. j'l'attendais grave dans l'coin celui là. grave hâte d'exploiter notre petit lien et d'voir les aventures with mike.
Daeshim Kitson approuve
Santino Reyes
and it went by, like dusk to dawn
reality
· fc + credit : manny montana + @kidd
· pseudo + pronouns : raphs, she/her.
· messages : 43
· age : twenty-nine [18.10]
· heart affair : not ready to give up on his marriage.
Ce nouveau personnage, comment dire, je n'étais pas prête et puis steven yeun j'suis tellement amour devant ce choix bref, encore une pépite que tu nous sors là
Citation :
curieux depuis sa plus tendre enfance, il nourrit sa curiosité par les livres, les renseignements plus "passifs" que des actions explicites, contrairement à il y a encore quelques années. pourtant, son amour pour l'apprentissage n'a, lui, pas changé. intuitif, il ne se fit qu'à son instinct, mettant en sourdine les sentiments et leur inconstances, ayant conscience que son esprit n'est pas la part la plus fiable de ce qu'il est.
bon ça y est, je suis mise ko et puis tellement fan qu'il rejoint le groupe des nightmares
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Re: eye of the shitstorm. · 01/11/21, 07:35 pm
merci pour vos messages, je suis tellement contente que ça vous plaise. @tadeo roseas trop hâte de développer ce lien aussi. @santino reyes j'espère qu'il aura le droit à un bon restau en remerciement, du coup. @bennett winter merciii. @esraa lekkas je ne peux qu'approuver pour steven. je suis sûre qu'on pourra là aussi se trouver quelque chose avec esraa si tu veux.
: lent, un peu dans tous les sens,, 3ème pers. du sing.
· cw/tw
: coma, noyade, problèmes d'image de soi.
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: j'en discute en privé et si c'est nécessaire.
Re: eye of the shitstorm. · 02/11/21, 07:02 pm
je- je suis encore en train d'essayer de me remettre de la partie rêve, no one talk to me please i'm grieving rebienvenue chez toi, my dear sag! hâte de ramener le frangin (or do i? parce qu'il y en a pas un pour rattraper l'autre )
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Re: eye of the shitstorm. · 03/11/21, 12:53 am
elle est la, la validation!
bon je vais pas répéter ce que j'ai dit plus haut mais ce personnage, tellement touchant, fragile, vulnérable c'était un plaisir de lire cette fiche toute en délicatesse, et c'était avec un immense plaisir que je te valide ofc (et puis hâte de lire du mishim )
guide pratique
l'étape de la validation est passée : une bonne chose de faite! mais avant de pouvoir te lancer à corps perdu dans l'aventure flight of the stars, on t'a préparé une petite to-do list - rien de bien extravagant, ne t'en fais pas. première chose à faire, c'est d'aller recenser ton personnage dans le registre des métiers et ensuite dans celui des logements. dans le cas d'un multicomptes, un petit passage par ce registre est également nécessaire. une fois fait, tu peux désormais ouvrir ton journal de bord, faire un petit tour dans le flood et aller créer tes pré-liens si l'envie t'en prend.
pour passer aux choses sérieuses, sache qu'il y a quelques petits liens utiles qui peuvent t'aider dans ta quête! tu as une idée de lien en tête et tu voudrais la jouer avec quelqu'un déjà présent sur fots? pas de souci, tu peux te rendre sur le sujet de recherche de liens. si, a contrario, tu as envie d'un rp sans lien définit en avance, tu peux tout à fait faire une recherche de partenaires rp ou aller jeter un oeil à la liste des sujets libres.
: pédophilie, maltraitance animale, inceste, viol. si vos personnages en subissent les conséquences, on peut quand même rp. je suis ok pour aborder les sujets du racisme et de la misogynie inrp, à l'unique condition de le faire avec des rpgistes documentés et si et uniquement si le rp vise à condamner et dénoncer ces sujets.
Re: eye of the shitstorm. · 05/11/21, 03:43 pm
ok cette fiche est un sortilège. l'intérieur, l'esthétique, je
Daeshim Kitson est en souffrance
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Re: eye of the shitstorm. ·
eye of the shitstorm.
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