FLIGHT OF THE STARS
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FLIGHT OF THE STARS base son gameplay sur la réalité et le monde onirique. — un rp par mois à faire recenser, pas de minimum de lignes. — respect d'autrui indispensable, sous peine de représailles. — merci de ne pas utiliser d'initales dans vos pseudos. — le forum se passant aux états-unis, évitez les accents dans vos pseudos également.
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 tales of the rockland ft. saoirse

Tadeo Roseas
Tadeo Roseas
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· fc + credit : cylus by me.
· pseudo + pronouns : a leo bitch in versace. // il, elle.
· multicomptes : argès, the shinny, fancy prince of elpida.
· messages : 90
· age : 28
· heart affair : en couple libre avec rena, la folie du palpitant, la passion des nuits au bout d'une cigarette partagée, le chant de sa voix dans leurs âmes cosmiques.
· work : rockstar, bassiste et chanteur de cosmo.
· pronouns : il.
· dream : the symphony of our moans.
· nightmare : all this fuckin' fears.
· fantasy : all of the lights.
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tales of the rockland ft. saoirse  ·  30/10/21, 03:23 am
         


Tales Of The Rockland

Sleep with one eye open
Gripping your pillow tight
Exit light
Enter night
Take my hand
We're off to never never land


@saoirse reyes

un œil s'ouvre. sur la voûte stellaire, plus haut. manteau noir, vespéral, gorgé de constellations où se dessine des dragons aux carapaces d'aciers, aux squames fait de lueurs lointaines, éternelles. les nuits éternelles de rockland. celle des légendes, depuis que l'homme des ombres s'est fait maître de ces landes rocheuses, entaillées par les bras sinueux de cascades et fleuves bioluminescents. des terres où le soleil n'est plus, n'existe plus. et c'est là, sous le tapis de sa longue cape, humidifiée par l'herbe brillante, qu'il se réveille, le barde métallique. son instrument magique, tout contre la poitrine de son armure de cuir, noirâtre. dont il effleure les cordes, brièvement. cette basse mystique empruntée à la faucheuse du bas-monde. seule mémoire de son aimée, délaissée entre ses serres anarchiques, d'un pacte aussi archaïque que ce monde. c'est en ces nuits solitaires où crépite, non loin, l'étincelle d'un feu et le bourdonnement de lucioles polychromes, qu'il lui adresse des élégies, des prières silencieuses. une promesse. l'espoir, d'un jour, de la revoir.

hors de sa torpeur, c'est près du feu, que ses orbes brunes se portent. là, sur les reflets argenté d'une armure inondé par ses flammes qui s'y réverbére, sa partenaire d'aventure, légende de son temps, guerrière peu affable, qui s'est endormie, assise. son épée tout contre son épaule, nouée entre ses doigts armurés, qu'il imagine, d'un œil, d'une oreille, tant elle semble habituée à ces nuits, qu'un rien peut venir tout faire basculer. et elle aura sûrement remarqué le bruit de ses pas, alors qu'il s'approche, sa basse nouée dans son dos à l'aide d'une lanière de cuir, à réchauffer ses mains couvertes de mitaines près du feu.

« Saoirse, réveillez-vous. »

parce qu'il ne faut pas traîner, jamais, quand les laquais démoniaques du vil roi des ombres, santino, font leurs gardes nocturnes. attiré par la nuit, tel de ces lucioles attirées par les vives couleurs des ruisseaux et des cascades qui coulent, non loin. c'est qu'ils sont partout, ici, désormais, en ces terres de ruines, de contes et de légendes, celle qui pourtant, lui inspire ses plus beaux vers. au même titre que cette femme, sur laquelle il vint poser une main, tout contre son épaule, légèrement, assez pour pouvoir l'arracher à sa torpeur.

« Nous devons lever le camp, reprendre la route. »

cette même-là, sur laquelle ils s'étaient rencontrés, unis, dans cette même quête de délivrer rockland de l'emprise vorace des ombres.



Saoirse Reyes
Saoirse Reyes
she lives in daydream with me

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you and i
we don't wanna be like them


tales of the rockland ft. saoirse 703a3576be8fadd268c9d439e31942a3 tales of the rockland ft. saoirse 6237d402c8539f82123daf52c16c03c6

· disponibilité rp : mike, santino, tadeo
· fc + credit : rc — av/ethereal, ic/pinterest, gif/self.
· pseudo + pronouns : kidd/faustine, she/her.
· messages : 163
· age : twenty nine.
· heart affair : complicated — in a relationship, married to someone else, mom of a three years old.
· work : bartender at the blind fox.
· pronouns : she/her.
· dream : her family being complete again.
· nightmare : anything happening to silvia. she wouldn't survive.
· fantasy : they have one face, one smile, and a pair of deep dark eyes.
dreamland

— stories to be told
· relationships
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· style rp
: rythme lent (rp le lundi + certains jours de semaine, quasi jamais le weekend), dialogues en français et anglais (mostly), troisième personne du singulier.
· cw/tw
: adultère, sexualité, langage vulgaire.
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: on a qu'à en discuter ensemble.

 

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Re: tales of the rockland ft. saoirse  ·  01/11/21, 02:16 pm
         


TALES OF THE ROCKLAND@tadeo roseas
Somethings wrong, shut the light
Heavy thoughts tonight
And they aren't of Snow White
Dreams of war, dreams of liars
Dreams of dragon's fire
And of things that will bite

Un bref sursaut la traverse en sentant une main alourdir son armure, au niveau de l'épaule. Elle, jusque-là bloquée dans un entre-deux, somnolant brièvement sur un pont psychique entre sa réalité et un rêve un peu étrange, rouvre les yeux et, clignant à quelques reprises pour adapter sa vue au contraste des ombres alentour et du feu rougeoyant, les pose sur son compagnon d'infortune. Ils sont seuls. Ça fait des jours que ça dure, qu'ils s'endorment inlassablement au détour d'un feu de camp, le plus souvent au son des élégies du barde, bercée par les mots d'amour emplit de douleur et de promesses dont elle est incapable de savoir s'il parviendra à les tenir ou non. Sa voix et ses mélodies rythment leur périple depuis leur départ de la ville la plus proche – Kingcardine, à onze lieues de leur campement de fortune, trois jours à dos de cheval, sept de marche – et, peu à peu, Saoirse semble mieux comprendre qui l'accompagne. Ça n'est pas la première aventure qu'ils vivent ensemble, elle le sait. Mais chaque nouvelle mission qu'ils s'imposent à eux-mêmes dessine de nouveaux pans de leurs personnalités, ce qu'ils peuvent être et ce qu'ils deviendront à force de parcourir les landes ensemble, toujours dans un seul et même but : délivrer le prisonnier Michael de la tour sombre et à la pointe rougeoyante du roi des ombres. Frottant ses yeux de ses gants de métal, Saoirse repose le regard sur Tadeo, dont les traits se transforment au bon gré des reflets du feu sur sa peau, marquant des zones d'ombrage là où elle n'en voit jamais autrement que par l'éclairage tamisé au milieu d'une nuit noire – au-dessus de leurs têtes, seules des étoiles brillent, la plus lumineuse d'entre elles capable de leur indiquer la route à suivre. Combien de temps a-t-elle dormi ? Elle n'en a pas la moindre idée. La fatigue martyrise encore ses muscles mais elle sait que l'homme à ses côtés a raison : plus vite ils reprendront la route, plus vite parviendront-ils à leur but. Dans un bruit métallique, elle se redresse et attrape le seau d'eau gardé près d'eux pour le jeter sur le feu « Est-ce que vous avez pu dormir un peu ? La route est encore longue jusqu'au château. » D'un mouvement de tête, elle désigne la tour perçant à travers le paysage, ses touches de rouges semblables à des marques de sang ressortant sous les reflets de la lune d'argent. À la vue du ciel, ils ont encore quelques heures devant eux pour profiter du manteau sombre de la nuit et se faufiler à travers les terres : malgré les rondes, les ténèbres offrent une échappée discrète, si seulement le silence se fait partenaire de leur voyage – trop de sang a déjà coulé en quelques jours de temps, laissant sa trace sur l'armure de Saoirse à mesure que les têtes sont tombées. Laissées derrière eux, elle n'a plus aucun doute que leur présence en ces lieux soit connue de tous, et plus encore de lui. « Nous n'avons pas de temps à perdre, elle lance, un pied dans l'étrier, avant de grimper sur le dos du cheval. Montez, c'est peut-être la meilleure occasion que nous aurons de gagner du terrain sans dommage collatéral. » Une main tendue vers lui, elle fait signe à Tadeo de la saisir, puis l'aide à grimper dans son dos.

Tadeo Roseas
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Re: tales of the rockland ft. saoirse  ·  01/11/21, 03:40 pm
         


Tales Of The Rockland

Now i lay me down to sleep
Pray the lord my soul to keep
If i die before i wake
Pray the lord my soul to take


@saoirse reyes

Dormir. C'est un mot bien étrange pour désigner la ténacité vaine de songes écourtés. Le sommeil est censé être un rendez-vous à soi-même, une halte singulière, au beau milieu d'une mer chaotique, confuse, de mémoires fragmentées. Le sien n'est plus ruines, semble-t-il. Une désolation amère, chèrement payée. Et c'est d'une voix basse, murmurante, presque mourante, qu'il s'élance, tout en caressant distraitement les cuirs de son avant-bras.

« Ce qu'il faut. Assez. Pour que la faucheuse ne puisse boire mes rêves. »

Pas de repos pour les miraculés. Pas de repos pour ceux qui les créées, qu'il pense dès lors, en posant son regard sur sa partenaire d'aventures. Tant elle brille dans les ombres vespérales, élégante, sous les pans de son armure d'argent. Elle qui lui montre au loin, les hauts pics rougeoyants d'une tour qui se meurs dans un ciel de plomb. Le fléau de Rockland. C'est là bas, sous les serres de nuages sanguins, du cliquetis de crocs et de griffes de créatures horrifiques, que leur voyage se terminera. Et avec lui, tant de mémoires, de proses et de poésies à chanter aux nuits immortelles.

Mais il faut partir. Vite. Reprendre la route. Et déjà que son acolyte ombrageuse lui tend la main, prête à déguerpir, loin de ce repaire de fortune, des cendres qu'elle a éteinte, humidifiée d'un coup de sceau. Et c'est avec un sourire non voilé, qu'il l'attrape, cette main tendue. À se hisser souplement sur son destrier, derrière elle.

« Vous permettez. »

Qu'il s'adresse à elle, glissant une main autour de sa taille, une meilleure prise, de quoi s'accrocher, lorsque le cheval s'emballe dans une cavalcade fougueuse. À disparaître dans le manteau ombral de la sorgue, sur les pentes sinueuses de ces chemins montagneux courbés. Avec ce vent, qui bientôt, vint à fouetter leurs visages. Et lui, que de lui répondre d'une voix forte, à travers les sifflements de la brise.

« Souvenez-vous, la dernière fois que vous m'avez fait part de dommages collatéraux, nous avons été poursuivis par une tribu de géants jusqu'au village de Redscar. »

Triste funeste destin qui s'était abattu sur les villageois des crêtes sanguines. Parce qu'ils avaient bien été obligés de devoir s'enfoncer dans les gravas caverneux des tanières de ces géants, afin de les délester de la clef de la tour sombre. Le petit hameau tranquille, au vignobles ensoleillés, s'était vu par la suite, piétiné par leurs pas gargantuesques.

« Quel dommage, lorsque j'y pense, le comte de Redscar était plutôt bel homme, vous ne pensez pas ? »

Toujours à se trouver un peu de bon temps, sur les routes, Tadeo. Entre deux haltes, deux tavernes. Quelques carnes sur lesquels se rincer l'œil et parfois, à se terrer dans leurs draps jusqu'aux aurores, à attendre un quelconque signe de la cavalière pour venir l'arracher à sa rêverie afin de reprendre leur quête.

Et puis soudainement, un bourdonnement sourd. Là. Au dessus de leurs crânes. Des créatures ailées aux griffes effilées, survolant leur course pour les dépasser d'une pointe aérienne. À s'enfoncer dans le lointain, droit vers cette tour sombre, gardée d'éclairs pourpres, fulgurants, tonnant.

« Il semble que les dommages collatéraux sont venus vous saluer, ô guerrière d'argent ! »

Des colporteurs, créatures messagères du roi des ombres. Désormais, une chose était sûr, son altesse serait dès lors prévenu de leur imminente arrivée.




Saoirse Reyes
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Re: tales of the rockland ft. saoirse  ·  08/11/21, 03:16 pm
         

La fatigue tend ses muscles avec plus de fermeté encore que son armure de métal. Tadeo dans son dos, elle donne un coup sec sur les rênes pour faire partir le cheval à toute vitesse. Ni une, ni deux ; le vent commence à s'engouffrer dans ses cheveux et, le regard impassible et sévère fixé sur ce qui leur fait face, Saoirse avance pour avaler le plus de distance possible avant que les sbires ailés du Roi des Ombres ne se réveillent et ne les prennent en chasse ; on ne sait jamais quand ça peut arriver et, si elle ne rechigne pas à prendre des risques, certains sont bien trop inutiles pour faire quelconque sens. Grâce à la vélocité de ses mouvements, les sabots du cheval ne s'enfoncent pas dans l'herbe humide du milieu de la nuit dont le claquement étouffé ne brise le silence alentour. C'est comme si la nature était morte ce soir, alors qu'ils savent parfaitement à quel point elle peut être vivace et traîtresse. Le vent tirant ses traits et laissant ses cheveux se perdre à l'arrière de sa tête, les longues mèches brunes s'emmêlant sans qu'elle n'y prête la moindre attention, Saoirse laisse une grimace déformer sa bouche au souvenir de Redscar, tombé sous les pas de monstres prodigieux et hors normes. Parfois, lorsqu'elle peut enfin fermer les yeux, les cris des habitants résonnent encore dans son esprit, jusqu'à ce qu'ils ne périssent presque tous dans un dessein funeste et des mares de sang ; la rivière, elle s'en rappelle encore, avait pris une couleur cruor et l'odeur qui se dégageait des landes lui soulève encore le cœur. Mais ni Tadeo, ni elle n'eurent guère le temps de se laisser prendre par la compassion et la tristesse : Redscar était une étape sur leur périple, un dommage collatéral, comme elle le dit si souvent, et si elle sait parfaitement que tout ça continuera de la hanter, elle se refuse pourtant de faire dans le sentiment.
Les paroles de Tadeo la ramènent un instant sur terre et, finalement, elle fronce un peu le bout du nez à la remarque sur le comte pour s'épargner un rictus amusé. « Je n'ai guère le temps de m'intéresser à ça. Ne vous souvenez-vous pas de la raison pour laquelle nous faisons tout ça ? » Michael. Michael et ses yeux clairs, et ses cheveux blonds, et sa voix à la fois douce et puissante. Et son besoin non négociable d'aide de leur part, pour échapper au sort que pourrait lui réserver le Roi des Ombres. Alors, elle ne veut pas s'arrêter pour plaisanter ou commenter la plastique d'un défunt ; le comte de Redscar n'est plus, et jamais plus il ne le sera à nouveau. Les morts ont tous une éternité à contempler leur vie et les vivants, eux, possèdent une existence entière pour se rappeler d'eux. Mais ceux dont le cœur palpite encore, dans des poitrines compressées par la peur et l'angoisse, n'ont pas le luxe de l'éternité devant eux. Michael ne l'a pas.
Les sourcils de Saoirse se froncent au bruit qui s'étend au-dessus de leurs têtes. Rien qui vaille. Les doigts enserrés autour des rênes, elle relève la tête pour apercevoir les ombres ailées et griffues qui se dirigent dans la même direction qu'eux. Un goût métallique se répand dans sa bouche alors qu'elle mord trop violemment l'intérieur de ses joues. Au moins, ils ont l'assurance de se diriger vers le bon endroit, se dit-elle en emmenant le cheval dans l'intimité vespérale de la forêt sombre. « Ils auront plus de mal à nous voir et à nous repérer entre les arbres. Une chance qu'ils aient encore leurs feuilles. » Malgré tout, malgré cette certitude qu'elle tente de mettre dans ses propres mots, Saoirse ne peut rien garantir réellement. Alors, enroulant les rênes autour de son poignet gauche, elle pose sa main sur le manche de son épée pour ne pas perdre la moindre seconde en cas d'attaque surprise. Les sbires obscurs ne sont pas entièrement stupides : ils les ont probablement vus, vont sans doute leur tendre un piège à un moment ou à un autre, quand bien même son plan de passer par la forêt peut leur faire gagner du temps et de l'énergie, car moins d'ennemis à combattre au bout de la rue. Saoirse se penche en avant pour prendre un peu plus de vitesse, souffle en direction de Tadeo : « Préparez-vous à vous battre, je sens qu'ils se rapprochent à mesure qu'on avance et je ne pourrais pas y arriver seule. » Par-dessus son épaule, elle lui jette un regard, sentant peser sur elle d'autres paires d'yeux alors que les mètres s'égrainent sous les sabots du cheval.

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