la nuit je suis grand et le jour je suis laid

la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 04/11/21, 03:56 pm

cael
kantor

Il n'a qu'un de ses deux pieds sur terre
Il jette sur les murs ses bouteilles de verre
En cachette, il en ramasse les morceaux

001.
origination002.
chapters 003.
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trigger warnings / content warnings — harcèlement scolaire, vilain petit canard de la famille/défaillance familiale, virilité exacerbée (vision du père)

prénoms, nom — C A E L - Des quatre lettres formant le tout là, de ce qui a été trouvé comme ça, pas grand-chose à dire là, jamais eu trop. Pas d’histoires, seulement lu sur un site ou un magazine, quelque part. K A N T O R - L’association automatisme au nom paternel, de l’héritage commun, de ce qui le liera toujours avec ces autres comme un tout semblant pourtant si lointain. âge, date et lieu de naissance — T R E N T E - C I N Q années, de la vie bien entamée, de la jeunesse écoulée. Le reconnaitrait pas les bourreaux du passé. De ce que le temps peut modifier, là. Entend les voix, là, à le pousser vers davantage de maturité, devenir l’image normalisée du trentenaire, des gosses, de la vie de famille. Pas encore adulte, plus enfant, il est quoi du haut de ces années ? L’image d’un produit imparfait, de l’éternel non choix, des voies de côtés, de pousser le curseur du mauvais côté, un peu trop souvent. Le dernier de la portée, ici même à Waredwell, un vingt-cinq septembre. Petit dernier de la trop grande marmaille, faire des gosses et assumer, c’est ce qu’ils disent les mauvaises langues hein. De lui brebis dans la tanière des fauves. origines et nationalité — De ce tout made in U S A sur le passeport, de ces deux êtres retrouvés ici, l’aurait pu tout être mais le mélange est fait d’origines J U I V E S A S H K É N A Z E S de la part du paternel et A N G L A I S E S de la mère. Des voyages de la vie, des décisions prises par des générations qui sont passées, ont trépassées depuis. De ce tout lui, pas vraiment unique, seulement le dernier moule. métier, occupation, études — Le calme tempête, la folie contrôlée, de l’adrénaline qui se pulse dans les cellules du corps. De ce cœur calme affrontant la tornade vie. Pousser la barre du risque si loin, trop diraient certains. De l’envie de mourir ? Oui ? Non ? N’y pense pas, n’y pense plus, se laisser porter par le désir adrénaline, par le besoin de perdition contrôlée. De s’envoler vers les étoiles, de quitter le sol, la terre, la vie, de devenir autre, de se trouver dans les quelques secondes avant la chute. De l’inconscience maitrisée, maitriser le temps dans la danse chorégraphiée, ne pas manquer un seul battement. Ne pas dévier d’un seul millimètre, répéter à s’en user le corps, de la nécessité pour rester dans la vie, pour tenter la mort, une fois encore. Être tout et rien à la fois, l’homme de l’ombre, l’image de dos, celui qu’on ne voit pas, devenir ces autres quand le vrai serait trop risqué. C A S C A D E U R, l’ombre puissante, le fil tendu entre folie et maitrise. Paradoxe existence là, dans ce qui pourrait tout faire perdre et pourtant ce qui fait tout gagner. Et le gout du risque à son apogée dans les cascades mécaniques, là, de ces voitures quittant terre, de l’impression de devenir plus léger que l’air. Et dans l’inconscience toujours la petite voix murmure que ça pourrait être la dernière fois. Addiction adrénaline un jour le perdra, si l’esprit sa clarté défaille. statut civil, orientation sexuelle/romantique — Tu ne changeras jamais, de la valise dans la main-là, des cris, des larmes, du dégout provoqué, par les actions défaillantes. De cette même rengaine, de rejouer la même scène, encore et toujours trop finalement. Le C É L I B A T venant se recoller à sa peau comme un parasite impossible à se débrasser. Lui murmure à l’oreille le saligaud, les mots qu’il faut pas, là, de cette maladresse qui vient ~~trop~~ souvent. De l’impossibilité de les exprimer ses faiblesses, de les accepter, de les montrer, à l’autre âme s’ouvrant dans sa totalité. Et la valise dans la main, la réalité revient, de l’écran, de la distance qui toujours éloigne, renvoie dans le lointain les bons moments trop précaires. Et l’impossible adulte, de ces erreurs, de ces défauts, de pas savoir se comporter avec assez de maturité, de ces idées qui filent, défilent, de ce qui part de travers. De l’imprévisibilité qui éloigne de la stabilité. Qui renforce les peurs et inquiétudes et à la fin la valise dans la main. Et jamais ne retient, l’être, pourquoi ? Parce que dans le fond les doutes sont là, de vraiment le mérité, cet avenir bonheur. Et toujours les failles renforcent l’inaction et la perdition. Et la sangsue célibat, une fois encore se félicite des corps qu’elle va trouver, s’approprier, rien qu’un peu, jusqu’au prochain coup de cœur, jusqu’à devoir se taire rien qu’un peu. Mais le sait le parasite, qu’il reviendra à la surface. Parce que les C O U R B E S F É M I N I N E S peuvent bien séduire et approcher, la seule fidélité lui revient. Célibat, toujours là pour réconforter les erreurs du palpitant. Et si les courbes attirent, c’est l’intérieur qui fait tenter l’impossible rapprochement, de ce qui se finira toujours par une valise dans la main. Comme un cauchemar dont on ne se réveille pas. Comme le résultat de toutes ces peurs angoissent et failles trop réprimées. traits de caractère — Intrépide, de cette témérité sans limite, ode à dame adrénaline, loin d’être apaisant, serait presque capable de faire revivre les mots de l’entêtement mouvement. De jamais se poser, de jamais s’arrêter, difficile le mot pause, là, même le sommeil s’agite. Tête brûlée, prête à tout, à trop parfois, dans les limites dissoutes, dans l’impatience maitresse de ce dépassement. Imprévisibilité dans le paroxysme, des envies qui viennent là, de ces besoins passe-temps et puis de ce tout se faisant, venant. Et là, le charme particulier, de chercher à connaitre l’âme quand plus qu’une nuit désirée. De ces côtés pas forcément montrés à tous, à l’écoute de ceux qui l’ont mérité, dans le dévouement sans faille, amuseur de instants plats. De les voir rire, sourire. De ce côté captivant qu’il travaille pas. Le sur-actif, l’adroit, l’astucieux, du métier passion, seul domaine ou la tempête sait se faire calme, concentration sans faille, minutie instant. Et le mur présent, de cette trop grande maitrise de soi devenant volcan. De ces émotions pas montrer, être entouré et solitaire, dans la forteresse de ses pensées. N’en parle pas de ce qui ne va pas, s’enferme, dans les mauvais côtés et rit des bons là, à s’en décrocher la mémoire. Pas totalement lui-même, de ces failles enfantines, de ces maux sans mots. L’imperfection humaine à vouloir combler, de ne pas accepter ses propres défauts, de les masquer, de tenter en tout cas. Et se perdre dans les dédales des sentiments, bien trop souvent, de pas savoir comment se donner dans son entièreté, de trop garder et de pas le montrer l’amour qui vient dans le palpitant. Froideur apparence à essayer de casser, difficilement atteignable pour la personne pas bien outillée. Et pourtant le rire se fait entendre, de l’imagination sans faille, de ses rêves visions, de ce bonheur ailleurs, dans le monde onirique où le sens de la vie même se change. Et dans les entrailles, perdure le moineau et Peter Pan. Les deux facettes d’une même pièce sous l’armure de l’âge dit de raison. Mais est-il vraiment là, quand les responsabilités prennent deux vitesses, quand le refus d’investissement dans certains aspects ne fait que renforcer cette impression qu’il ne grandira jamais. Cael, les facettes composant un tout, changeant selon les gens comme le caméléon s’adaptant à son environnement. groupe — fantasies. faceclaim + crédit — ed skrein + icons : renegade + zaja; citation : kyo - margaux, omar, marlow

dernier rêve ou cauchemar de votre personnage — Le rire là, se propage, prend la place, toute la place, explose de tous les côtés, le rire, non leurs rires, tout autour de lui. Vient de partout à lui exploser les tympans, les mains sur les oreilles mais rien n’y fait, le rire continue, le rire se poursuit. Le rire contre lui, de ses visages aux formes floues mais cette sensation de connaitre, de se rappeler, d’eux même sans les voir. Eux, de cette multitude, eux, de ce passé, là, eux qui reviennent là. Et la peur qui vient se saisir de l’être, n’est plus adulte, redeviens, l’enfant, le jeune adolescent, si petit, si frêle, si petit, là, de cette taille irréelle, pas plus grand qu’une sourit et ces autres qui imposent, qui explosent. Et se faire attraper là comme un moins que rien, comme la sensation de n’être qu’une poupée désarticulée. Et eux, tout autour, et leurs mots, qui deviennent des maux. Des réminiscences du passé, de ses failles, là, de la sensation d’impuissance. Et tout se bouscule, dans la foule, d’un côté à l’autre, divague sans se tenir droit, et la noirceur, là, grandit, augmente, quand les êtres se dissipent, n’est plus humain, devient brebis, dans l’instant. Et courre à en perdre haleine, cours, à ne plus savoir comment respirer. Et les entends, les hurlements, dans la nuit, les entend et le sait, ils arrivent accourent vers lui. Les loups, la meute déchainée, affamée. Et le grand loup, là, si grand énorme, le rattrape à pas de géants, et la brebis pleure, de cette peur profonde. Et les dents là, si proches tellement. « tu seras un loup mon fils » de cette voix si imposante, de se faire avaler là, de se faire dévorer par le loup père et ses idéaux. Et le réveil en sursaut et cette sensation-là, de redevenir l’être d’autrefois. et les failles qui font mal, se bousculent au portillon et dans la nuit noire la respiration difficile se fait, des tremblements de l’être. Et là, dans le fond de l’être, le petit gosse crie un « aime-moi » que l’armure ne laisse passer.

fantasme — L’amure implose, là, dans ce fracas, ne reste que l’être mis à nu, de ses failles parsemant le corps, se marquant, impossible à éviter. De l’impression de nouveau souffle qui vient saisir, de la sensation de respirer enfin pour la première fois, dans la totalité de l’existence. De ne plus rien avoir à cacher, plus rien avoir à laisser de côté. Se montrer sans plus penser à rien, loin de ces doutes insufflés dans l’enfance, loin de l’image nécessaire, n’être que lui, là, sans rien à cacher. Et se sentir heureux, de ce bonheur qu’on ne trouve que dans l’idéalisme. Et elle est là, le visage flou, lointain, comme l’esquisse d’un être connu, méconnu en même temps, de la sensation de ces autres, de l’autrefois, de bienveillance là. Et ses bras venant se fermer sur les siens, de l’acceptation d’elle, de l’idéale, de l’amour sans le repousser, sans l’éloigner, sans se trouver des excuses, sans fonctionner sur automatisme pour le repousser. C’est la sensation là, de l’accueillir, de lui ouvrir les bras, de se laisser envahir sans attendre. Et puis, vient la délicatesse, de la main se posant sur le ventre, là, de la vie en train de grandir. Et ça ne fait pas peur, pas là, dans l’irréel si vraie. Là où le jugement n’existe pas, ou la force n’est pas la notion. Non, l’homme, l’adolescent et l’enfant, pour la première fois formant un tout, acceptant ce bonheur qui pourrait si aisément lui tendre les bras. Et au final, ce je t’aime prononcé, sonnant comme une promesse d’éternité.

On nous dit d'tenir toujours, sourire
Pour qui pour quoi jamais faiblir?
Dis, tu fais quoi pour pas périr?
On nous dit même comment rire
Comment faire genre pour se tenir
Toi tu fais quoi toujours pour obéir?
— eddy de pretto & yseult, pause.

(warning : virilité exacerbé, propos sexistes)
(M E U T E )Ils avancent ensemble, comme un tout, comme une seule ombre se déplaçant sans s’arrêter. Et un seul hurlement fait s’arrêter la meute enragée. Marche ou crève, leur credo. Des regards mauvais là, de la réputation précédant. Parce que les rumeurs enflent si facilement. De peu devient tout, seulement l’idée qu’on s’en fait. K a n t o r, sur leur passage se retourner, de la marmaille a plus savoir quoi en faire. De la réalité là, des bouches à nourrir, pourquoi continuer à faire des gosses pour en faire des fauves hein ? Et la réalité cédant place à l’image, à l’idée et eux, la meute, continuant d’exister, de se moquer de ce qu’ils pensent, ils ne sont rien. La meute avant l’extérieur. La meute avant tout… L O U P hurle dans le matin, loup ne laisse pas le monde lui dicter sa conduite. Loup vit et survit, loup agit avant qu’on l’agite. Loup pense et louveteaux obéissent. Loup sans comment est faite la vie, faut pas se laisser marcher dessus. C’est détruire ou se faire détruire. Loup voit pas le monde en couleur seulement en noir et blanc. Le mal prend la saveur du bien tant que ça lui sert à loup. Et si les louveteaux se battent pour une place, ça ne fait que les forger. Parce que les HOMMES ça doit être fort, ça pleure pas un HOMME, ça ne montre rien, ça reste dur en chaque circonstance. Fait pas ta fillette et ta chochotte qu’il crie loup devant B R E B I S. De le vouloir fort, de le vouloir de la meute. Il y rentrera brebis, de force ou de gré, parce qu’on n’échappe pas à la meute jamais. Parce que loup veut pas que brebis se fasse dévorer mais dans ses idéaux mauvais, comprend pas le travers de ses idées.

(warning : harcèlement scolaire)
(t h e l o s e r s c l u b) Petit M O I N E A U, pas bien grand, pas bien épais, la croissance pas forcément dans la courbe là. Une tête en moins, une tête dans le lointain, regarde le monde d’en bas, de la différence qui se marque là. Moineau, l’étiquette là, des vêtements un peu daté, de ce qui appartenaient à d’autres avant. Moineau ne s’exprime pas, il rêve et divague. Moineau, il les entend ses voix et ne montre pas comme cela le blesse parfois. Comme ces coups-bas, de ces croches pieds, touche le sol moineau, de ses ailes abimées. Et dans le silence, les laisse couler les larmes malgré les mots de L O U P. Mais à la meute on ne raconte pas les mots collés dans le dos, les regards de travers, les moqueries là. On n’explique pas qu’on est pas f o r t, pas comme il faut qu’ils diraient. Et que dans ce monde, il entre pas dans la bonne catégorie, pour eux en tout cas. Mais moineau vole, il s’envole vers les cieux, de ses pas qui rejoignent les cieux. Là, sur son arbre perché, rêve de l’autre monde, devient Peter Pan et les trouve les autres enfants perdus. Réalité onirique, du trésor partagé, de se trouver dans la méandre des silhouettes sans forme. Être heureux, là, de ces ressemblances différences, de ce tout venant, des moments à chérir, des aventures à découvrir. Moineau aux ailes déployées devient R E N A R D, de la malice, de la fougue, de ces idées à foisons. Des bons et des mauvais plans, témérité éternité, là, de les faire sourire, de les faire rire, de se faire pardonner quand le plan tourne mal. Et renard rit, sourit, vit, à sa manière se découvre là, dans la famille autre, dans le clan de ceux dont on ne voulait pas. Leur offrira toujours l’instant liberté, l’instant de souffler, de s’évader, plus loin qu’ils ne l’imaginaient. Les faire voguer sur les flots, sans limites et avec eux, les éloigner ces mots, ces failles, ces fêlures, devenir renard filou et laisser l’intelligence se mettre aux services de leurs conneries.

(a d r é n a l i n e) Cœur fulmine, de la sentir encore, là dans le bout des doigts. De s’y perdre, souvent, trop peut-être bien. De l’imaginer encore et encore, la plénitude de l’instant, d’être un, d’être vivant sur le bord du précipice. De l’inconscience de l’adolescence, du besoin de liberté, des ailes s’envoler dans le monde aux milles idées. Adrénaline jamais danger, de la pensée certitude qu’on peut toujours s’en sortir, toujours réussir. Adrénaline, le crédo, la passion, le fil conducteur des jours beaux, des jours moroses, du monde-là. Et si la foudre de la mort doit venir le frapper, au moins, c’est sur un nuage que le dernier souffle sera amené. Adrénaline impulsivité, amour inconditionnel, bras dans lesquels se réfugier et ne jamais s’en éloigner.

(g o o d b y e n e v e r l a n d ?) Peter arraché au pays imaginaire, faut grandir Peter, le corps changeant, se modifiant. De la magie de mère nature, de la croissance qui finit par se passer là. Le monde le regarder de haut, le voir différemment et pas en même temps. Le corps changement mais l’intérieur là, le moineau toujours en son sein, de ses failles toujours présentent. Mais renard maintenant les cache, les enferme derrière l’armure du grand adulte. Jouer à l’homme un peu, parfois, leur faire croire à cette fausse confiance, que le corps fait beaucoup mais l’intérieur toujours se noie dans les mêmes incertitudes. Ne jamais montrer ses faiblesses, comme loup lui a appris. Mais renard n’est pas devenu loup, non, ne mange pas les autres pour avancer, poursuit sa propre voie, dans le détachement nécessité de la meute poison et de l’endoctrinement toujours là, dans certaines pensées, certaines gestes, cette idée que la faiblesse ne doit pas exister. De toujours la maintenir l’image du grand homme. Vraiment ? L’enfant toujours là, de la non maturité qui explose, Peter Pan vit toujours, survit dans le corps de grand. Et il ramasse les morceaux des mots du loup, enrobe le tout dans ce mélange incertain, là, de l’incertitude de la vie. Et le pas toujours incertain trouve sa propre mélodie dans l’adrénaline reine.

(en vrac) oublie trop souvent de payer ses factures à temps – n’a jamais dit je t’aime – essaye d’arrêter la clope mais reprend encore de temps en temps, étrangement là quand le parasite célibat revient lui sucer la moelle – impossible de se poser, là, devant la tv, de le regarder ce film sans bouger, sans s’occuper, devenir fou de l’attente là – remettre au lendemain les choses dites compliquées de son point de vue – passer un week-end dans une tente en plein milieu des bois – retenir des faits totalement inutiles et les ressortir quand il ne vaut pas – rouler des heures à sentir le vent dans ses cheveux, de la liberté instant – devenu métronome humain, du besoin de rythme, de pas manquer le moment, l’instant, des quelques secondes entre la vie et la mort là, dans le jeu métier - mur vivant

jupiter/amandine
âge, lieu de vie — trop proche de la trentaine la nuit je suis grand et le jour je suis laid 2272921349

, le plat pays. signe astrologique — taureau. type de personnage —pré-lien de @"DAESHIM
KITSON". chanson du moment — larme fatale de julien doré et eddy de pretto et margaux, omar et marlow de kyo. comment tu nous as connu? — j'ai vu le projet passé sur tumblr. un dernier mot pour la route? — pourquoi c'est toujours si dur de trouver un titre à une fiche la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1758394525

la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1758394525

. j'espère que cael vous plaira la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1263913479

c'est encore un peu en under construction dans ma tête m'en voulez pas la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3278794119

contente d'être parmis vous, je zieute le forum depuis quelques temps déjà la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

c'est beau par ici la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 04/11/21, 04:30 pm

bienvenuuuuuue. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1239327806

très bon choix de pl, j'aime énormément ce début. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 2600957229

je te réserve ed pour sept jours. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1239327806

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 04/11/21, 05:27 pm

Bienvenue. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 4200912244

Ce PL.

la nuit je suis grand et le jour je suis laid 432053345

la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3217184045

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 04/11/21, 06:33 pm

@Cosimo Casavant merci beaucoup pour la réservation la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

je connaissais pas omar mais il a une bouille toute choupi la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1758394525

je suis contente que le début plaise merci la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1494884464

@Santino Reyes merci beaucoup
quel super choix de fc la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

mais oui j'ai totalement craqué dessus la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3217184045

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 04/11/21, 09:19 pm

le choix du pl. le fc et la plume. puis le personnage qui s'dessine, vraiment que des pépites qui débarque sur FOTS. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3720973492

la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3720973492

stop killing me with your talent, pls.

j'vais encore stalker cette fiche et m'délecter d'la suite. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3217184045

la citation d'eddy et yseult. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3217184045

bienvenue ici, hope tu te plaira parmi nous. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1758394525

(j'viendrais sûrement te gratter un lien too.) la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 04/11/21, 11:49 pm

je confirme, eeeexcellent choix de pl. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1758394525

la nuit je suis grand et le jour je suis laid 4121877780

plus sérieusement : encore merci de tenter le petit, j'ai très très hâte de pouvoir en lire plus - ce début me plaît déjà beaucoup. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 2600957229

n'hésite pas en cas de besoin, et officiellement bienvenue parmi nouuuus. la nuit je suis grand et le jour je suis laid 298232391

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 05/11/21, 08:54 am

@Argès Vasilios un immense merci mais oui ce pl il est la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

j'ai pas encore lu ta fiche mais rien que ton profil il donne l'eau à la bouche et je sens le talent derrière la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3720973492

encore un grand merci la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

stalke, stalke, stalke, parait que c'est bon pour la santé la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3571187164

(oui non mais j'adore les deux artistes et leur deux duos ils sont la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3720973492

)

merci beaucoup (encore) et j'en doute pas, vous êtes super accueillant la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3217184045

@Daeshim Kitson faut remercier la génialissime créatrice du pl la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3612779170

de rien, merci à toi de l'avoir imaginer la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

je suis contente que le début te convienne, j'écris la suite soon la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3612779170

( et je slide dans tes mps dès que j'ai 95% du cael actuel dans ma tête la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

see you soon la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1758394525

)
encore un immense merci la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1494884464

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 05/11/21, 10:33 am

alors avant toute chose.

Cael Kantor a écrit:: Le calme tempête, la folie contrôlée, de l’adrénaline qui se pulse dans les cellules du corps.

ce passage omfg ??
je.
la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3041348102

donc bon tu l'auras deviné mais ta plume m'émoustille.
j'allais dire : je connais pas le fc, mais en fait si mdr. il est très peu vu mais il est cool !! c'est nice de le voir.
puis ce choix de pl la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3352737275

la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3352737275

le groupe est trop chouette, celui-là en particulier est vraiment la nuit je suis grand et le jour je suis laid 432053345

anyway.
bienvenue la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3016224439

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 05/11/21, 02:37 pm

@Arun Wattana ohlala mais je la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3041348102

c'est trop trop trop trop trop gentil d'accord la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1263913479

j'espère que la suite te plaira tout autant
ahahah oui, il est connu sans l'être, on le voit dans pas mal de film mais il est pas si connu au final bizarrement la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3571187164

mais il allait bien avec l'idée que je me faisais du pré-lien
un immense merci en tout cas la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1263913479

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 05/11/21, 02:38 pm

juste ce choix exceptionnel de pl et puis tout se qui se profile, j'aime beaucoup trop la nuit je suis grand et le jour je suis laid 4157479435

ce choix de job et ce caractère, j'suis in love la nuit je suis grand et le jour je suis laid 2531848693

la nuit je suis grand et le jour je suis laid 708764567

bienvenue

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 05/11/21, 02:46 pm

@Esraa Lekkas un immense merci la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1263913479

je suis contente que ça plaise la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1445503956

et j'ai pas encore lu ta fiche mais rien que le profil met l'eau à la bouche la nuit je suis grand et le jour je suis laid 1758394525

et puis ce choix de fc la nuit je suis grand et le jour je suis laid 3720973492

Re: la nuit je suis grand et le jour je suis laid · 05/11/21, 02:48 pm

Bienvenue sur fots ! I love you

reality dreamland