cael

cael - adrénaline · 07/11/21, 02:38 pm

cael
kantor

On nous dit d'tenir toujours, sourire
Pour qui pour quoi jamais faiblir?

001.
introduction002.
gameplay

fiche de présentation reachme direct message

trigger warnings / content warnings — harcèlement scolaire, vilain petit canard de la famille/défaillance familiale, virilité exacerbée (vision du père)

prénoms, nom — C A E L - Des quatre lettres formant le tout là, de ce qui a été trouvé comme ça, pas grand-chose à dire là, jamais eu trop. Pas d’histoires, seulement lu sur un site ou un magazine, quelque part. K A N T O R - L’association automatisme au nom paternel, de l’héritage commun, de ce qui le liera toujours avec ces autres comme un tout semblant pourtant si lointain. âge, date et lieu de naissance — T R E N T E - C I N Q années, de la vie bien entamée, de la jeunesse écoulée. Le reconnaitrait pas les bourreaux du passé. De ce que le temps peut modifier, là. Entend les voix, là, à le pousser vers davantage de maturité, devenir l’image normalisée du trentenaire, des gosses, de la vie de famille. Pas encore adulte, plus enfant, il est quoi du haut de ces années ? L’image d’un produit imparfait, de l’éternel non choix, des voies de côtés, de pousser le curseur du mauvais côté, un peu trop souvent. Le dernier de la portée, ici même à Waredwell, un vingt-cinq septembre. Petit dernier de la trop grande marmaille, faire des gosses et assumer, c’est ce qu’ils disent les mauvaises langues hein. De lui brebis dans la tanière des fauves. origines et nationalité — De ce tout made in U S A sur le passeport, de ces deux êtres retrouvés ici, l’aurait pu tout être mais le mélange est fait d’origines J U I V E S A S H K É N A Z E S de la part du paternel et A N G L A I S E S de la mère. Des voyages de la vie, des décisions prises par des générations qui sont passées, ont trépassées depuis. De ce tout lui, pas vraiment unique, seulement le dernier moule. métier, occupation, études — écrire ici. statut civil, orientation sexuelle/romantique — Le calme tempête, la folie contrôlée, de l’adrénaline qui se pulse dans les cellules du corps. De ce cœur calme affrontant la tornade vie. Pousser la barre du risque si loin, trop diraient certains. De l’envie de mourir ? Oui ? Non ? N’y pense pas, n’y pense plus, se laisser porter par le désir adrénaline, par le besoin de perdition contrôlée. De s’envoler vers les étoiles, de quitter le sol, la terre, la vie, de devenir autre, de se trouver dans les quelques secondes avant la chute. De l’inconscience maitrisée, maitriser le temps dans la danse chorégraphiée, ne pas manquer un seul battement. Ne pas dévier d’un seul millimètre, répéter à s’en user le corps, de la nécessité pour rester dans la vie, pour tenter la mort, une fois encore. Être tout et rien à la fois, l’homme de l’ombre, l’image de dos, celui qu’on ne voit pas, devenir ces autres quand le vrai serait trop risqué. C A S C A D E U R, l’ombre puissante, le fil tendu entre folie et maitrise. Paradoxe existence là, dans ce qui pourrait tout faire perdre et pourtant ce qui fait tout gagner. Et le gout du risque à son apogée dans les cascades mécaniques, là, de ces voitures quittant terre, de l’impression de devenir plus léger que l’air. Et dans l’inconscience toujours la petite voix murmure que ça pourrait être la dernière fois. Addiction adrénaline un jour le perdra, si l’esprit sa clarté défaille. traits de caractère — Tu ne changeras jamais, de la valise dans la main-là, des cris, des larmes, du dégout provoqué, par les actions défaillantes. De cette même rengaine, de rejouer la même scène, encore et toujours trop finalement. Le C É L I B A T venant se recoller à sa peau comme un parasite impossible à se débrasser. Lui murmure à l’oreille le saligaud, les mots qu’il faut pas, là, de cette maladresse qui vient trop souvent. De l’impossibilité de les exprimer ses faiblesses, de les accepter, de les montrer, à l’autre âme s’ouvrant dans sa totalité. Et la valise dans la main, la réalité revient, de l’écran, de la distance qui toujours éloigne, renvoie dans le lointain les bons moments trop précaires. Et l’impossible adulte, de ces erreurs, de ces défauts, de pas savoir se comporter avec assez de maturité, de ces idées qui filent, défilent, de ce qui part de travers. De l’imprévisibilité qui éloigne de la stabilité. Qui renforce les peurs et inquiétudes et à la fin la valise dans la main. Et jamais ne retient, l’être, pourquoi ? Parce que dans le fond les doutes sont là, de vraiment le mérité, cet avenir bonheur. Et toujours les failles renforcent l’inaction et la perdition. Et la sangsue célibat, une fois encore se félicite des corps qu’elle va trouver, s’approprier, rien qu’un peu, jusqu’au prochain coup de cœur, jusqu’à devoir se taire rien qu’un peu. Mais le sait le parasite, qu’il reviendra à la surface. Parce que les C O U R B E S F É M I N I N E S peuvent bien séduire et approcher, la seule fidélité lui revient. Célibat, toujours là pour réconforter les erreurs du palpitant. Et si les courbes attirent, c’est l’intérieur qui fait tenter l’impossible rapprochement, de ce qui se finira toujours par une valise dans la main. Comme un cauchemar dont on ne se réveille pas. Comme le résultat de toutes ces peurs angoissent et failles trop réprimées. traits de caractère — Intrépide, de cette témérité sans limite, ode à dame adrénaline, loin d’être apaisant, serait presque capable de faire revivre les mots de l’entêtement mouvement. De jamais se poser, de jamais s’arrêter, difficile le mot pause, là, même le sommeil s’agite. Tête brûlée, prête à tout, à trop parfois, dans les limites dissoutes, dans l’impatience maitresse de ce dépassement. Imprévisibilité dans le paroxysme, des envies qui viennent là, de ces besoins passe-temps et puis de ce tout se faisant, venant. Et là, le charme particulier, de chercher à connaitre l’âme quand plus qu’une nuit désirée. De ces côtés pas forcément montrés à tous, à l’écoute de ceux qui l’ont mérité, dans le dévouement sans faille, amuseur de instants plats. De les voir rire, sourire. De ce côté captivant qu’il travaille pas. Le sur-actif, l’adroit, l’astucieux, du métier passion, seul domaine ou la tempête sait se faire calme, concentration sans faille, minutie instant. Et le mur présent, de cette trop grande maitrise de soi devenant volcan. De ces émotions pas montrer, être entouré et solitaire, dans la forteresse de ses pensées. N’en parle pas de ce qui ne va pas, s’enferme, dans les mauvais côtés et rit des bons là, à s’en décrocher la mémoire. Pas totalement lui-même, de ces failles enfantines, de ces maux sans mots. L’imperfection humaine à vouloir combler, de ne pas accepter ses propres défauts, de les masquer, de tenter en tout cas. Et se perdre dans les dédales des sentiments, bien trop souvent, de pas savoir comment se donner dans son entièreté, de trop garder et de pas le montrer l’amour qui vient dans le palpitant. Froideur apparence à essayer de casser, difficilement atteignable pour la personne pas bien outillée. Et pourtant le rire se fait entendre, de l’imagination sans faille, de ses rêves visions, de ce bonheur ailleurs, dans le monde onirique où le sens de la vie même se change. Et dans les entrailles, perdure le moineau et Peter Pan. Les deux facettes d’une même pièce sous l’armure de l’âge dit de raison. Mais est-il vraiment là, quand les responsabilités prennent deux vitesses, quand le refus d’investissement dans certains aspects ne fait que renforcer cette impression qu’il ne grandira jamais. Cael, les facettes composant un tout, changeant selon les gens comme le caméléon s’adaptant à son environnement. groupe — fantasies. faceclaim + crédit — ed skrein + icons : renegade + zaja; citation : eddy de pretto & yseult - pause

caractéristiques spéciales — oublie trop souvent de payer ses factures à temps – n’a jamais dit je t’aime – essaye d’arrêter la clope mais reprend encore de temps en temps, étrangement là quand le parasite célibat revient lui sucer la moelle – impossible de se poser, là, devant la tv, de le regarder ce film sans bouger, sans s’occuper, devenir fou de l’attente là – remettre au lendemain les choses dites compliquées de son point de vue – passer un week-end dans une tente en plein milieu des bois – retenir des faits totalement inutiles et les ressortir quand il ne vaut pas – rouler des heures à sentir le vent dans ses cheveux, de la liberté instant – devenu métronome humain, du besoin de rythme, de pas manquer le moment, l’instant, des quelques secondes entre la vie et la mort là, dans le jeu métier - mur vivant - famille véritable meute, prônant le marche ou crève, vision de l'existence en blanc et noir, pas de gris, se faire manger ou manger - issu d'une famille modeste et nombreuse - brebis chez la meute, le loup père tentant de le faire renter dans le rang dans sa vision tronqué de la réalité - brebis, devenu moineau finissant renard au contact de sa bande

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f — la valise sur le pas de la porte, un coup de tu ne changera jamais, une rengaine, des erreurs du passé que reste-il maintenant ? et se voir, se revoir et puis quoi ? comment se voir quand tout a pris fin ?

f/m/nb — le(s) bourreau(x) d'un autrefois incertain, le gamin gosse, trop petit, cible facile de vos années enfantines, adolescentes. et que se passerait-il si les regards se recroisaient des années après ?

f/m/nb — se croiser au détour d'un rêve, d'un cauchemar, se croiser au détour de la vie, se découvrir et puis ?

f/m/nb — de ces idées à développer ensembe pour s'envoler dans le drame, la joie, tout ce que ça peut entrainer

sujets en cours
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Re: cael - adrénaline · 07/11/21, 02:38 pm

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