FLIGHT OF THE STARS
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FLIGHT OF THE STARS base son gameplay sur la réalité et le monde onirique. — un rp par mois à faire recenser, pas de minimum de lignes. — respect d'autrui indispensable, sous peine de représailles. — merci de ne pas utiliser d'initales dans vos pseudos. — le forum se passant aux états-unis, évitez les accents dans vos pseudos également.
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 sweet hallelujah.

Saoirse Reyes
Saoirse Reyes
she lives in daydream with me

reality
long story short :
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you and i
we don't wanna be like them


sweet hallelujah. 703a3576be8fadd268c9d439e31942a3 sweet hallelujah. 6237d402c8539f82123daf52c16c03c6

· disponibilité rp : mike, santino, tadeo
· fc + credit : rc — av/ethereal, ic/pinterest, gif/self.
· pseudo + pronouns : kidd/faustine, she/her.
· messages : 163
· age : twenty nine.
· heart affair : complicated — in a relationship, married to someone else, mom of a three years old.
· work : bartender at the blind fox.
· pronouns : she/her.
· dream : her family being complete again.
· nightmare : anything happening to silvia. she wouldn't survive.
· fantasy : they have one face, one smile, and a pair of deep dark eyes.
dreamland

— stories to be told
· relationships
:
· style rp
: rythme lent (rp le lundi + certains jours de semaine, quasi jamais le weekend), dialogues en français et anglais (mostly), troisième personne du singulier.
· cw/tw
: adultère, sexualité, langage vulgaire.
· triggers
: on a qu'à en discuter ensemble.

 

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sweet hallelujah.  ·  17/10/21, 12:27 pm
         


SAOIRSE
REYES

whispers in the background behind closed doors
i got myself in a mess and without you i'm in more




trigger warnings / content warnings — abandon, adultère, accouchement (mention).

prénoms, nom — elle a gardé son nom. ils n'ont pas divorcé, après tout. elle a pris ses jambes à son cou, mais elle n'a rien signé pour dire qu'elle ne voulait plus de lui, encore moins qu'elle ne l'aimait plus. reyes, toujours accolé à son prénom, remplaçant le solorzano qui existait autrefois à cet endroit. ce même prénom, choisi par un homme qui aurait dû être son père avant qu'il ne déguerpisse de son existence. âge, date et lieu de naissance — il y a vingt-neuf ans, à une date inconnue, naissait une enfant dont on ne voulait pas. elle ne saurait connaître avec exactitude le lieu qui l'a entendue pousser son premier cri, personne n'ayant jamais pris la peine, avant de la laisser à son sort, de noter quelque part la moindre information à son sujet. les médecins ont pu estimer à quelques jours près sa date de naissance, fixée officiellement au douze janvier 1992. origines et nationalité — de nationalité américaine, ses origines sont aussi floues que tout ce qui entoure son passé avant d'être tombée dans les bras du couple solorzano - on suppose fortement que ses parents biologiques étaient brésiliens, cependant. elle n'a jamais tenu à faire quelconque test, se contente de grandir dans la culture inculquée par sa mère. métier, occupation, études — barmaid au blind fox depuis son arrivée en ville ; elle s'est glissée, malgré son ventre légèrement arrondi et la période de latence qui allait s'ensuivre, dans le cœur battant de la ville pour tenter de se faire une petite place, plus vite qu'elle ne l'aurait pu ailleurs. statut civil, orientation sexuelle/romantique — saoirse est mariée, séparée, remise en couple. elle a épousé l'amour de sa vie il y a bien des années, garde toujours sa bague de fiançailles et son alliance précieusement dans sa boîte à bijoux ou autour de son cou, mais est partie le jour où elle a appris qu'elle était enceinte, sans jamais divorcer ; sans doute était-elle incapable de rompre totalement ce lien entre eux, de tirer un réel trait sur lui. remise en couple depuis trois ans, elle partage sa vie et son logement avec un autre homme, entretenant entre ses bras une relation inégale et probablement injuste sur bien des points. traits de caractère — saoirse n'est pas la personne la plus simple à saisir. entre l'apparence et la réalité, elle semble se dessiner comme duale quand, pourtant, elle se considérerait simplement entière. déterminée, avec un caractère bien trempé, elle ne s'énerve pourtant que rarement. sa colère est froide et contenue, jusqu'à la goutte d'eau de trop et l'explosion qu'elle ne saurait pas toujours contrôler. comme toutes les femmes de sa famille, saoirse possède une autorité naturelle, celle d'une mère, d'autant plus marquée depuis la naissance de sa petite fille. de nature excessivement perfectionniste, elle a besoin de parfaitement réussir les tâches qui lui sont confiées, dans le privé comme le professionnel ; elle déteste décevoir les autres. saoirse donne l'impression d'être distante et froide lorsque la carapace n'est pas tombée ; ça n'est qu'en présence de personnes de confiance qu'elle se montre plus chaleureuse, sans jamais pourtant se faire extravertie, faisant dire d'elle qu'elle possède un comportement assez complexe. si elle préfère s'entourer d'un cercle restreint, les gens autour d'elle savent néanmoins qu'ils peuvent compter sur elle, et ce quoi qu'il arrive. son exigence n'a que peu d'égal : elle en demande beaucoup, mais est prête à en donner tout autant de son côté pour prouver sa bonne foi. elle n'aime pas la routine, pourtant forcée d'en adopter une pour les besoins de sa fille, et cherche autant qu'elle peut à la briser dans les petites choses du quotidien sur lesquelles elle possède une liberté totale. malgré tout, elle cherche toujours à ce que les choses soient parfaites - pour son bien-être, mais celui de ses proches aussi. les personnes qui ne la connaissent pas vraiment ont tendance à croire qu'elle peut se montrer égoïste ou arriviste. groupe — insomnia. faceclaim + crédit — rafa consentino // pics@pinterest.

dernier rêve ou cauchemar de votre personnage — Il était là, pas très loin. Jamais très loin. Elle sentait sa présence se rapprocher et une partie d'elle lui indiquait le chemin à suivre ; comme si, de ses rêves à ses souvenirs, elle traçait sur sa peau la carte à suivre pour arriver jusqu'à elles deux et ce petit coin perdu du Massachusetts, où leur vie avance dans l'espoir sourd de le voir réapparaître un jour.
fantasme — Son monde idéal, bien sûr. Un monde où elle n'aurait pas à faire souffrir un homme qui ne mérite pas ça – bien au contraire. Un monde où elle n'aurait pas eu à prendre ses jambes à son cou dans l'intérêt de son enfant, laissant derrière elle l'homme qu'elle avait épousé. Où, dans l'esprit de Silvia, il n'existerait pas qu'au travers des mots de sa mère.
i hope she’ll be a fool —
that’s the best thing a girl
can be in this world,
a beautiful little fool.
f. scott fitzgerald, the great gatsby.

avril 2018, california
Les mouvements de sa poitrine étaient calmes et réguliers. Son bras serré autour de sa taille, sa tête enfoncée dans son oreiller, il dormait sans se douter de la tournure que prendrait sa vie au réveil. Si d'apparence tout semblait parfait, l'ambiance se dessinait pourtant lourdement autour de leurs corps emmêlés, annonciatrice d'un revirement de situation auquel personne n'aurait pu s'attendre. Pas elle, encore moins lui, et les autres... les autres, Saoirse Reyes s'en foutait. Ils avaient perdu leur importance dès lors qu'elle avait décrété qu'ils n'en valaient plus la peine. Deux corps et, comme elle aimait à le croire, une seule âme divisée et reformée entre leurs silhouettes enlacées, les baisers échangés, les caresses qui donnaient à Saoirse la sensation d'importance et d'éternité qu'elle s'apprêtait pourtant à briser. Ses doigts glissèrent sur le bras de Santino, bercé par un sommeil de plomb, le corps nu détendu sous les draps changés un peu plus tôt dans la journée ; comme un dernier hommage à son unique amour, elle décida de lui offrir une soirée au goût de perfection dans la simplicité des choses et l'évidence qu'elles transportaient avec elle. Elle redessina de la pulpe de sa main les contours de ses muscles, les articulations de son poignet, se perdit doucement contre ses phalanges, effleura l'alliance dorée qui brillait à son annulaire. Le poids sur sa poitrine lui donna l'impression d'étouffer sous une pierre qu'elle ne parvenait pas à faire rouler ailleurs. Elle était prête, l'espace d'un instant, à oublier l'idée folle qui lui trottait en tête depuis la réponse qu'elle avait redoutée. Ils étaient si bien, ensemble. Malgré les disputes qui survenaient parfois, les éclats de voix, et l'incompréhension face à laquelle elle avait l'impression de se trouver par moments. Il était parfait pour elle. Dès lors que leurs lèvres s'étaient trouvées pour la première fois, Saoirse avait su et avait senti cette vérité qu'elle ne pouvait ni ne voulait nier. Personne ne lui conviendrait mieux que Santino Reyes, dont elle prit le nom en lui offrant son cœur pour une éternité qui, elle, ne serait jamais brisée. Qu'importait ce qu'elle s'apprêtait à faire ; elle lui appartenait et resterait sienne, même si la vie la mènerait loin de lui. Son bras se resserra doucement autour d'elle. Elle ferma les yeux, inspira profondément pour chasser les premières larmes qui menaçaient de rouler du coin de ses yeux. Comme une piqûre de rappel, ses doigts abandonnèrent ce bras pour se lover contre son ventre. Aucun arrondi ne faisait se courber sa silhouette fine et presque filiforme ; elle savait qu'elle ne pouvait rester plus longtemps à cause de ça, de cette vérité qu'elle ne parviendrait plus longtemps à cacher. Savourant leur dernière étreinte, Saoirse ne bougea plus pour quelques minutes, les yeux rivés sur le plafond, bien loin de s'inquiéter de l'arrivée d'un sommeil capable d'anéantir ses plans. Ça faisait presque une semaine qu'elle ne dormait quasiment plus, de toute façon. Et finalement, elle se redressa. Le força à défaire son étreinte de son corps, reposant son bras sur le matelas encore chaud de sa présence. Elle se redressa. Attrapa les vêtements qu'elle avait gardé de côté, glissa dans un silence de cathédrale les quelques vêtements qu'elle avait prévu d'emmener avec elle, luttant contre les larmes et l'envie d'abandonner cette idée qu'elle savait aussi désastreuse qu'elle ne pouvait être nécessaire. Habillée, ses affaires préparées, elle se rapprocha de lui et s'assit avec précaution sur le rebord du lit. Lentement, Saoirse caressa sa joue du dos de sa main, détaillant le visage endormi et apaisé de son mari. « Te prometo que nos volveremos a encontrar. » Elle déglutit, se pencha doucement et déposa ses lèvres sur son front. « Te amare por siempre. » D'une voix à peine audible, elle lui souffla une dernière fois son amour, essuya la larme qui roula de sa joue à celle de Santino, et se leva. Derrière elle, elle ne laissa aucune explication. Rien d'autre qu'un mot, simple et pourtant lourd de sens, qu résonne encore en elle aujourd'hui. « I'm sorry, I love you. »


en vrac: Saoirse ressent tout. Si Dieu nous fait d'une certaine façon pour des raisons qui lui sont propres, comme se plaît à le conter sa mère, la fille unique de la famille Solorzano ne comprend toujours pas pourquoi il a voulu faire de son cœur et son corps une véritable éponge. Hypersensible, Saoirse a dû apprendre dès son plus jeune âge à dissimuler ses émotions négatives les plus profondes, étouffant à leur tour les plus positives d'entre elles, se refusant de montrer sa vulnérabilité au reste d'un monde qui, déjà, lui semblait briller de par son insensibilité. Elle a préféré taire la part d'elle la plus sincère, celle où son cœur parlait librement, pour mieux le protéger de ce que pourrait lui apporter le reste qui l'entourait. Alors qu'importe combien elle peut ressentir les choses, qu'importe sa souffrance ou les excès de joie qu'elle peut connaître, elle ne les partage que peu avec les autres, se refusant à pleurer devant des yeux trop inquisiteurs et pouvant porter un jugement ; il n'y a que sa fille, capable de faire ressortir le meilleur d'elle et d'offrir à ses sourires la liberté totale qu'ils méritent. — Sa fille, son roc. Elle a changé de vie du jour au lendemain, après avoir appris qu'elle était enceinte ; l'instinct maternel surpassa son besoin d'être auprès de l'homme qu'elle aimait (et aime encore au plus profond d'elle), la poussant à faire ses bagages et ne laisser derrière elle qu'un mot bref, écrit à la main dans un carnet de notes laissé à l'abandon sur la table basse d'un salon semblant bien vide après son départ. « I'm sorry, I love you. » C'est seule qu'elle a vu s'arrondir ses courbes, à l'autre bout d'un pays qu'elle n'avait jamais vraiment pris le temps de visiter, dans une ville dont l'attrait lui provenait des origines de sa famille dans les quartiers de Louisiane. Elle a observer son ventre grandir, a commencé à sentir bouger son enfant, a laissé couler les premières larmes quant à la réalisation de ce qu'elle avait fait ; seule, elle était partie, et seule, elle s'imaginait élever sa fille. Après un accouchement plus difficile qu'elle ne l'aurait cru, aux quelques complications lui ayant tordu le ventre et le cœur jusqu'à l'épuisement, elle a accueilli dans ses bras la petite Silvia Reyes, lui offrant le nom d'un père ignorant jusqu'à son existence, et le prénom de la mère de ce dernier. Trois ans plus tard, la petite rouquine continue de faire d'elle la plus fière des mères, lui permettant de panser le manque qu'elle ressent encore. — Elle ne se souvient plus vraiment de qui a su charmer l'autre. Et pourtant, de cette soirée, elle se rappelle le regard vif et le sourire en coin la détaillant de l'autre côté du comptoir, l'espagnol naissant d'entre les lèvres du groupe d'hommes quand son attention, pourtant, n'était portée que sur l'un d'entre eux. Le jeu de séduction n'était pas nécessaire ; ils se plaisaient, et quiconque dans la salle pouvait les voir se bouffer des yeux, les frissons glissant des bras dénudés de Saoirse jusqu'à venir mourir dans le creux de ses reins. Et pourtant... Santino Reyes l'eut avec la même facilité qu'elle avait eut à l'avoir, lui. Derrière les sourires en coin, les œillades et les taquineries à la limite du sarcasme, il y avait cette évidence ; cette électricité ressentie dès qu'ils se touchaient, cette attraction indéniable quand ils se toisaient, sans que rien ne s'étiole au fil des années passées ensemble. Lui dire oui ? Elle n'avait pas hésité. Oh, personne n'avait su la faire tomber amoureuse comme lui, et Saoirse Solorzano troqua avec une fierté gonflant sa poitrine son nom pour le sien. Faîtes sienne, elle se refusa d'imaginer briser ce qu'ils avaient, un jour. Et pourtant... — On l'avait prévenue : les choses ne sont jamais faciles, et c'est ce qui les rend plus belles encore. Au moins, Santino ne lui avait jamais menti sur ses activités. Mais de l'excitation des débuts face au risque et à l'interdit, migra l'inquiétude constante quant aux possibles résultats de affaires. Apprenant qu'elle était enceinte et incapable de songer à une autre solution (avorter ? Hors de question. Élevé son enfant à proximité d'un tel univers ? Là aussi, elle ne pouvait s'y résoudre), Saoirse plia bagage. Elle regretta bien trop souvent. À peine partie, elle eut envie de faire demi-tour, de le retrouver et pouvoir se perdre à nouveau dans ses bras, sentir son parfum ailleurs que sur les vêtements emportés, ou les deux t-shirts de lui qu'elle avait gardé comme s'il s'agissait de ses trésors personnels. Mais la décision avait été prise pour une raison, et malgré l'injustice de son départ et l'ignorance dans laquelle il ne savait même pas qu'il baignait, Saoirse savait, au fond d'elle, que c'était le mieux pour l'enfant à naître. Elle le quitta sans jamais cesser de l'aimer. Plus de trois ans écoulés depuis leur séparation brutale et à sens unique, et pourtant elle garde encore précieusement son alliance dans sa boîte à bijoux, sur sa table de nuit. Elle dort encore dans ce t-shirt volé à la dérobée dans ses affaires ; celui qu'elle avait l'habitude d'enfiler et dans lequel il aimait tant la voir. Et Silvia, sous le regard tendre de sa mère, ne comprend peut-être pas pourquoi un autre haut l'accompagne depuis sa naissance, quand pourtant l'importance qu'elle l'ait eut toujours été capitale pour sa mère ; emmaillotée dedans dès son arrivée à la maison, l'enfant traîne avec elle un souvenir d'un père qu'elle ne connaît pas encore et qui, pourtant, a toujours fait partie de son quotidien, d'une certaine façon. — Sur sa peau, entre les grains de beauté disséminé çà et là sur son corps, se dessinent parfois des formes encrées sous son derme, perdues au détour de ses courbes. Sur le côté de son poignet droit, le jour de naissance de Silvia (un 7, pour le 7 décembre 2018). Sur l'annulaire droit, les contours d'un croissant de lune, symbole de la puissance féminine, de la nature de la femme, de la renaissance et la régénération. Contre ses côtes, dissimulées par les dentelles de ses sous-vêtements, deux simples lettres : SR, tatouées là depuis près de six ans maintenant. Capables d'être autant pour ses propres initiales, que celle de Santi, et désormais celles de leur petite fille, représentant leur unicité (malgré la distance). — Et il y a Mike. Mike et son sourire ayant su la mettre en confiance. Mike et les bons mots qu'il est parvenu à trouver auprès d'elle, quand elle en avait besoin. Mike qui, depuis plusieurs années maintenant, partage son quotidien jusqu'à avoir su se glisser contre elle pour la laisser se perdre entre ses bras. C'est une relation inégale, oui. Les sentiments partagés ne sont pas les mêmes lorsque, la regardant droit dans les yeux, il est capable de lui avouer qu'il l'aime mais qu'elle se retrouve à sourire, à mimer des gestes pour lui répondre, sans avoir à dire les quelques mots qu'il se languit d'entendre. Elle se figure que sa présence près de lui suffit. Que ses caresses, la façon dont sa main trouve sa nuque pour que ses doigts viennent chatouiller de leur pulpe sa peau et la naissance de ses cheveux, les baisers qui se perdent entre ses lèvres, son cou, et le reste de son corps suffisent. Ils vivent ensemble, s'apprennent encore l'un l'autre et, si Saoirse se sait l'aimer, elle sait aussi que ça n'est pas comme ça. Il n'y a pas d'équivalent. Pas de comparaison. Si elle aurait voulu pouvoir lui offrir toutes les certitudes dont il aurait pu avoir besoin, elle s'en retrouve pourtant incapable. Elle sait qu'il mérite mieux mais, dans un élan égoïste, s'empêche de lui rendre sa liberté, tant la solitude l'angoisse. — tw poids Fine depuis toujours, elle a souvent essuyé les remarques quant à sa taille (1m75) et son poids : trop grande, trop mince, trop maigre aux yeux de certains. L'acceptation de son physique se fit de façon compliquée et hasardeuse, cherchant à s'aimer là où d'autres ne semblaient être capables que de critiques. Du chemin sinueux pour en arriver à l'assurance qu'elle possède désormais, elle a gardé en tête l'apprentissage semé d'embûches pour être capable de le raconter à sa fille plus tard, et de lui offrir une voie déjà tracée pour qu'elle ne subisse pas les souffrances qu'elle a elle-même ressenti.

kidd/faustine

âge, lieu de vie — vingt-cinq ans, london baby. signe astrologique — sagittaire de décembre, avec un peu de gémeaux, un peu de taureau, un peu de capricorne, et beaucoup de sass. type de personnage — inventée. chanson du moment — somewhere, de LANY // love is pain, de finneas. comment tu nous as connu? — damn, bitch, please. un dernier mot pour la route? — *mwah*.

Cosimo Casavant approuve


Cosimo Casavant
Cosimo Casavant
and it went by, like dusk to dawn

reality
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· work : part-time job @ the moka pot.
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· fantasy : rescuing him from a shipwreck, kissing him back to life.
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· style rp
: lent, un peu dans tous les sens,, 3ème pers. du sing.
· cw/tw
: coma, noyade, problèmes d'image de soi.
· triggers
: j'en discute en privé et si c'est nécessaire.

 

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Re: sweet hallelujah.  ·  24/10/21, 07:19 pm
         

toujours aussi belle, fascinante, gracieuse. sweet hallelujah. 1485681113 sweet hallelujah. 1485681113 sweet hallelujah. 1485681113
ce que j'aime chez saoirse, ce sont surtout ses imperfections, ses défauts, tout ce qui lui donne une profondeur si intéressante. sweet hallelujah. 4157479435
et puis toute l'esthétique de la fiche est *chef's kiss* mais de toi, je n'en attendais pas moins. sweet hallelujah. 3632589437
je te valide (mdr)
bisous

Saoirse Reyes
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Re: sweet hallelujah.  ·  24/10/21, 07:22 pm
         

sweet hallelujah. 3214307071 sweet hallelujah. 3305199182 sweet hallelujah. 1415688793 sweet hallelujah. 1415688793 sweet hallelujah. 1415688793

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