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FLIGHT OF THE STARS base son gameplay sur la réalité et le monde onirique. — un rp par mois à faire recenser, pas de minimum de lignes. — respect d'autrui indispensable, sous peine de représailles. — merci de ne pas utiliser d'initales dans vos pseudos. — le forum se passant aux états-unis, évitez les accents dans vos pseudos également.
it’s dangerous in this town when I'm feeling this down beautiful faces creep me out when they’re always around
trigger warnings / content warnings — violences psychologiques de la part d'un parent, consommation abusive d'alcool/drogue dans le but d'échapper à la réalité ou à un souvenir, enfermement temporaire contre la volonté du personnage.
prénoms, nom — bennett, depuis qu'il est à waredwell, c'est-à-dire treize ans, mais son véritable prénom, celui que sa mère lui a donné à la naissance, c'est benedikt, en souvenir de lointaines origines russes qui n'ont aucune réalité pour lui (ni pour sa mère, d'ailleurs). winter est le nom de son père mais, encore aujourd'hui, il a l'impression qu'il s'agit d'un nom de scène. bennett winter. ben winter. plus jamais benedikt garin. âge, date et lieu de naissance — il vient de fêter ses vingt-trois ans, puisqu'il est né le 21 octobre 1998, à springfield (massachusetts). origines et nationalité — bien que les parents et grands-parents de bennett soient tous nés sur le continent américain, il est facile de remonter à leurs origines: allemandes (du côté paternel) et russes (du côté maternel). bennett n'a cependant jamais mis un pied en dehors du massachusetts et il n'a quitté springfield que pour déménager à waredwell à l'âge de dix ans. métier, occupation, études — à la surprise générale, bennett avait été admis dans deux des trois universités auxquelles il avait envoyé un dossier mais quand a été venu le moment de plier bagages, il a décidé que les études n'étaient pas faites pour lui. depuis, il "cherche" sa voie (sans grand succès) et passe plus de temps à dépanner les autres qu'à chercher un vrai boulot. statut civil, orientation sexuelle/romantique — éternel célibataire. il faut dire que bennett ne fait rien pour mettre les chances de son côté: un peu lourd, bruyant, il a tendance à en faire des tonnes et ça n'amuse pas vraiment les demoiselles et quand il arrive à conclure, il ne passe jamais la nuit entière avec sa dulcinée d'un soir. souvent il se dit qu'il n'est probablement pas fait pour les relations, voilà tout. à moins que ça soit sa peur panique de laisser tomber le masque qui érige une telle barrière qu'il lui est tout simplement impossible d'agir naturellement. s'il était obligé de se définir, il dirait qu'il est bisexuel (parce qu'il n'a à l'heure actuelle toujours pas pigé ce qu'était la pansexualité) mais il n'a jamais tenté quoi que ce soit avec quiconque et ses (ultra)brèves aventures sont plus des accidents/coups de bol qu'autre chose. traits de caractère — il est bruyant, bennett. il se fait toujours remarquer, quitte à en agacer plus d'un. il a toujours son mot à dire, de l'énergie à revendre (surtout lorsqu'il devrait dormir, ce qui fait qu'en contrecoup, il peut s'assoupir n'importe où et n'importe quand). il est plus brillant qu'il n'y parait mais, comme le lui ont souvent reproché ses professeurs, il ne met pas ses facultés à bon escient. il est insaisissable, le jeune winter. les gens croient le connaitre mais c'est la façade qu'ils observent depuis plus d'une décennie. ils ne connaissent pas benedikt, ses ombres, ses nuits éveillées, ses souvenirs, les cauchemars qu'il fuit, l'enfant de springfield est soigneusement abrité, enfermé. il n'y a que le clown qui sort, le maladroit, le casse-cou, le fantasque. et bennett, cela lui convient parfaitement. groupe — insomnia. faceclaim + crédit — rudy pankow | gifs fiche: surii@tumblr | lyrics: entertainment, corey harper.
dernier rêve ou cauchemar de votre personnage — C’est toujours le même. C’est tellement toujours le même que Bennett en arrive parfois à se demander s’il rêve vraiment, ou plutôt, il se dit qu’il a conscience qu’il est coincé dans ce rêve récurrent, donc ça veut dire qu’il ne dort pas vraiment, n’est-ce pas? Il se pince, juste pour voir, mais la douleur est aussi courte que vive. Ça ne ratera pas, il n’y échappera pas. Alors il ferme les yeux, sent un frisson lui glisser le long du corps (il sinue entre ses vertèbres, caresse ses bras, s’enf(o)uit par les pores de sa peau, s’immisce au creux de son ventre). Il ne fait pas froid pourtant. Au contraire, il fait généralement chaud. Une touffeur qui lui donne l’impression d’être dans un four. Lorsqu’il rouvre les paupières, c’est comme s’il les avait toujours closes. Il fait noir. Un noir d’encre, une obscurité de puits sans fond, de grotte inaccessible, de soir d’Halloween, de film d’horreur, de cécité nerveuse. Il fait noir et chaud - étouffant. Il fait noir et d’abord il croit toujours que c’est le silence qui l’oppresse mais c’est faux. Il sait que s’il écarte les bras, les tend à l’extrême, il peut frôler du bout des doigts les deux extrémités de l’endroit, effleurer la rugosité des briques. S’il recule, il heurte le fond de l’abri. S’il avance, il pourra rejoindre la porte mais elle sera close. Verrouillée. Immanquablement. Et s’il presse l’oreille contre le bois usé, il l’entendra qui s’agite de l’autre côté. Qui gronde, qui marmonne, qui l’invective, le traite de démon, de saleté. Qui frappe dans son cartable, qui déchire (l’un de ses vêtements, l’un de ses devoirs - le chien l’a mangé, il l’a sorti plein de fois, il ne pouvait pas dire ‘c’est maman qui l’a détruit’), qui jure qu’il ne sortira plus jamais de là. Qu’il y restera pour de bon. Il sent son cœur cogner partout dans son corps et s’abstient de réagir, toujours. Il préfère l’entendre que la voir, il préfère qu’elle s’en prenne à ses affaires plutôt que de voir le gouffre au fond de son regard. Furieux? Haineux? Bennett a toujours refusé d’y chercher cette lueur mais il a toujours su, au fond, que ce n’était pas juste l’absence d’amour ou l’indifférence, que c’était bien plus que cela. Une haine, un acharnement. Rien de ce qu’il faisait n’avait de valeur à ses yeux et il s’y était évertué, pourtant, à lui plaire, à se faire aimer d’elle. Mais il n’y en avait que pour Volodya et Volodya était mort et il était vivant et rien que pour ça, il devait payer. Alors il finissait ‘au trou’ à la moindre incartade. Il subissait les reproches, la douleur, le chagrin, l’amertume. Le cauchemar est pire que la réalité. Parce qu’en réalité, sa mère se lassait au bout d’une heure, même si elle le laissait là un temps qui semblait interminable à Bennett. Elle finissait par donner un coup dans la porte, le faisant sursauter, et elle redescendait au salon, l’abandonnant au silence et à l’obscurité. Mais dans l’univers de l’inconscient, le temps s’étire, file, défile et sa mère ne se lasse jamais. Elle continue à tambouriner, à siffler, à l’humilier. Il a beau se presser les mains contre les oreilles, serrer les paupières; il l’entend toujours. Alors l’angoisse monte, il se recroqueville et se met à émettre un son, comme une onde continue, pour noyer la peur, la rancœur, la solitude. C’est ce son qui finit toujours par le réveiller. fantasme — Le fantasme de Bennett varie d’un jour à l’autre. Il oscille entre être le centre de l’attention ou l’extrême opposé: un être transparent qui pourrait traverser une pièce bondée et qu’on ne remarquerait pas. Ne pas devoir faire le clown, ne pas devoir se donner en spectacle. Mais quel que soit l’angle pris, la finalité reste la même: il croise sa mère, au milieu de la foule. Soit il la regarde droit dans les yeux, du haut d’une table où il pérore pour le bonheur de ses invités; soit il s’approche d’elle, la détaille, sans qu’elle se doute de quoi que ce soit. Dans les deux cas, elle n’est plus cette ombre omniprésente qui le domine, elle est juste une femme. Une femme malheureuse qui ne faisait que répandre son mal-être autour d’elle, qui le jetait sur son gamin de six ans, de huit ans, de dix ans. Elle a perdu de son ampleur, de son pouvoir, de sa force. Dans les deux cas, il ne la craint plus. Elle n'a plus aucune emprise sur lui.
But the heart has its own memory and I have forgotten nothing. — albert camus, the fall.
La vie de Benedikt bascula un matin de mars, mais il ne le sut pas d’emblée, bien qu’il s’éveilla avec une étrange sensation. Il ne l’identifia pas immédiatement, il lui fallut quelques minutes pour comprendre ce qui l’intriguait exactement. Puis il réalisa que c’était le silence. La maison était plongée dans un silence presque inquiétant. Ni la radio ni la télévision ne fonctionnait à l’étage inférieur, alors que c’était un son qui parasitait constamment leur environnement, à chaque heure de la journée et de la nuit. Les seuls moments où Benedikt n’entendait pas les voix des jeux télévisés ou des présentateurs, c’était quand il était à l’école - ou enfermé au grenier. Le reste du temps, il était entouré de ces hommes irréels qui n’étaient pas son père, seule compagnie que sa mère semblait tolérer chez eux, encore plus depuis que Volodya était décédé. Mais ce matin, pas un bruit, pas un son. Était-ce la faute à une panne? Une coupure d’électricité parce que sa mère n’avait pas payé les factures à temps? Le garçon de dix ans évalua le risque de se lever et d’aller voir: si sa mère était d’une humeur massacrante parce que la radio était hors circuit, c’était la case cagibi assurée pour lui s’il osait se montrer. Mais d’un autre côté, il avait un besoin pressant et le ventre qui gargouillait et il ne pouvait pas non plus rester éternellement au lit, il fallait qu’il aille à l’école. Le coeur compressé par l’inquiétude, Benedikt repoussa ses draps, posa prudemment les pieds à terre et traversa sa chambre avec l’agilité d’un chat, pour ne pas faire grincer les lattes du plancher. Les lèvres pincées, la respiration filtrant à peine, il abaissa la poignée de la porte et entrouvrit celle-ci. Il tendit l’oreille, peut-être que la radio était simplement baissée à son volume minimum, mais il ne décela rien et, plus étrange encore, il eut l’impression que la maison était vide. Vide. C’était impossible, sa mère ne quittait jamais le territoire de leur propriété. C’était à peine si elle s’aventurait dans le jardin. Elle avait façonné sa vie de façon à ce qu’elle n’ait jamais à sortir, comptant sur les livraisons à domicile puis sur Benedikt ensuite pour ramener les courses. Il n’avait pas le choix, il devait sortir, s’en assurer. S’il se levait trop tard, elle pouvait aussi lui tomber dessus et lui demander pourquoi il tardait tant, pourquoi il n’était pas en route pour l’école, s’il comptait sécher, s’il pensait vraiment qu’elle allait croire à sa mascarade et lui faire manquer la classe. Benedikt n’était pas dupe: ce n’était pas parce qu’elle s’en faisait pour son avenir ou ses notes, c’était juste parce qu’elle voulait qu’il débarrasse le plancher. Elle n’avait eu aucune scrupule, par le passé, à l’envoyer à l’école malgré une fièvre carabinée qui l’avait envoyé à l’infirmerie avant même que la première heure soit terminée. - Maman? La voix du garçon sembla se répercuter dans la demeure désertée et il entreprit une descente prudente vers le rez-de-chaussée, au cas où sa mère se serait simplement assoupie et son arrivée la réveillerait en sursaut - ça non plus, ce n’était jamais bon pour lui. Mais il constata rapidement qu’elle n’était nulle part. Ni dans la cuisine, ni dans le salon, ni aux toilettes, ni à la cave. Indécis quant à la meilleure chose à faire - il n’avait personne à appeler, ni tante ni oncle, ni grand-parents et il ignorait qui était son père; s’il se rendait à l’école et qu’elle revenait entre-temps, lui reprocherait-elle d’avoir continué sa vie sans se demander où elle était?; s’il restait et l’attendait, l’accuserait-elle de profiter de son absence pour faire des bêtises? - Benedikt se rongea les ongles et guetta la silhouette maternelle à travers les rideaux. Mais elle n’était pas davantage dans le jardin et il n’avait aucune idée de l’endroit où elle avait pu se rendre. Finalement, il opta pour la journée ‘normale’ et si, en rentrant ce soir, sa mère était de retour et le blâmait d’avoir continué comme si de rien n’était, il prétendrait avoir cru qu’elle dormait encore. Piètre mensonge pour un piètre menteur mais Benedikt ne se sentait pas la force d’attendre ici le moment fatidique où elle réapparaîtrait. Parce qu’elle allait réapparaître, n’est-ce pas? C’était forcé? C’était la question qui l'avait taraudé toute la journée, alors qu’il s’agitait sur sa chaise, le regard porté vers l’extérieur. Il se fit rappeler à l’ordre par ses professeurs à plusieurs reprises mais l’angoisse d’ignorer la localisation de sa mère était plus forte que celle des réprimandes et quand, enfin, il avait été l’heure de rentrer, c’était en courant que Benedikt avait parcouru le chemin entre son école et chez lui, trop impatient pour attendre le bus scolaire. Mais elle n’était toujours pas là. Deux jours passèrent. Puis trois. Et il fallut l’intervention d’une voisine attentive (les voisins évitaient en général d’avoir à se confronter à la mère de Benedikt, mais ils avaient toujours eu une attitude bienveillante à l’égard du garçonnet, lui proposant de l’aider à porter ses sacs lourds de course lorsqu’il avait sept ans et revenait de l’épicerie, l’invitant à monter en voiture les jours de pluie quand le bus était en retard, le saluant gentiment lorsqu’il passait devant leur jardin) qui découvrit le gamin assis sur les marches du perron, les joues striées de larmes, pour que les choses bougent enfin. Sinon, combien de temps serait-il resté là à attendre celle qui ne cachait pas son mépris pour lui et qu’il ne pouvait s’empêcher d’aimer, pourtant? Que serait-il devenu si la police n’avait pas été prévenue? Si la voiture ne s’était pas arrêtée devant chez les Garin, si on ne lui avait pas posé mille et une questions auxquelles il répondait la plupart du temps je ne sais pas? Si la présence des verrous sur certaines portes (celle du cagibi, de sa chambre, de la cave) n’avait pas fait naître la suspicion? Les jours qui suivirent la disparition de sa mère demeurent encore dans une sorte de brouillard pour Bennett, tout comme les années qui précèdent l’arrivée de cet homme, cet inconnu - son père. C’est comme s’il y avait un avant et un après. Avant, Benedikt Garin était le garçon le plus seul au monde. Après, il regardait cet homme blond et charismatique qui pénétrait dans la salle d’attente du commissariat, qui s’approchait du comptoir, se présentait dans un bourdonnement inintelligible et, enfin, se tournait vers lui quand on le désignait. Il avait eu un regard indéchiffrable puis il s’était efforcé de sourire avec confiance - pour s’en donner à lui-même ou pour en offrir à Benedikt? - et s’était approché et accroupi face à son fils. Il avait ouvert la bouche, s’était présenté, s’était excusé de n’avoir pas pu venir plus tôt. Il avait une voix qui donnait envie qu’on se fie à lui, mais peut-être était-ce juste le besoin viscéral de Bennett d’avoir quelqu’un qui ne le regarde pas comme s’il était un poison, le diable en personne. Sa mère l’avait abandonné. Il ne mettrait plus jamais les pieds dans la maison où il avait grandi. Jim Winter était venu le sauver. Il n’avait plus rien à craindre. Sauf les cauchemars, peut-être, qui, eux, l’accompagnaient partout.
Olivia
âge, lieu de vie — pre-1990 , près de l'atomium. signe astrologique — pisces. type de personnage — inventé. chanson du moment — marina, about love. comment tu nous as connu? — laura + tumblr, discord. un dernier mot pour la route? — j'ai l'impression de ne plus avoir écrit depuis mille ans mais je tente l'aventure parce que c'est vous .
Auguste Lundqvist approuve
Auguste Lundqvist
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· fc + credit : dagsen love + vertalligatorus
· pseudo + pronouns : lev / elle
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· heart affair : célibataire
· work : sculpteur, livreur de pizza
· pronouns : ille, ellui, accords neutres.
· dream : statue finie dans un musée, délicatesse dans la pierre, tendresse dans la taille
· nightmare : galatée vengeresse qui enfonce ses doigts dans ses yeux, sursaut de vie, vue anéantie
· fantasy : statue dressée au coeur du louvre, victoire de samothrace dans son dos, fêtes sans fin où ceux qui sont partis rampent à ses pieds cette fois
: pas forcément long, 3è personne, rapidité fluctuante
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Re: sleepless nights · 25/10/21, 08:15 pm
J'aime trop trop trop Bennett et ce que j'en ai lu genre Je sais pas si ça te botterait mais je me dis que y a trop moyen de se faire un lien avec Auguste (ils ont le même âge, ont probablement fréquenté la même école etc) En tout cas j'ai trop hâte de lire la suite parce que jfdhfjd
: rythme lent (rp le lundi + certains jours de semaine, quasi jamais le weekend), dialogues en français et anglais (mostly), troisième personne du singulier.
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: on a qu'à en discuter ensemble.
Re: sleepless nights · 25/10/21, 08:30 pm
gimme more, gimme more! c'est tellement chouette de pouvoir te relire, j'ai l'impression que ça fait tellement longtemps qu'on ne s'est pas croisées sur un forum, tes personnages ont manqué à mon paysage rpgique. comme d'habitude, on a affaire à un sans faute de ta part, en plus.
bienvenue sur fots, je te réserve rudy de ce pas.
Eleanor Tobin
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· fc + credit : maya hawke // ethereal.
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Re: sleepless nights · 01/11/21, 10:00 am
elle est la, la validation!
cette fiche, mais cette fiche. elle aurait pu faire la longueur d'un roman que je l'aurais quand même lu d'une traite, sans relever le menton du livre. no doubt, tu écris toujours aussi bien et tes personnages sont toujours aussi beaux et plaisant à lire. les rêves de bennett sont tellement éprouvants, son histoire familiale aussi... j'espère qu'il trouvera à waredwell ce dont il a besoin. en tout cas, j'ai terriblement hâte de te lire inrp avec, et j'aimerais beaucoup un lien si ça te tente. et évidemment, je te valide avec plaisir.
guide pratique
l'étape de la validation est passée : une bonne chose de faite! mais avant de pouvoir te lancer à corps perdu dans l'aventure flight of the stars, on t'a préparé une petite to-do list - rien de bien extravagant, ne t'en fais pas. première chose à faire, c'est d'aller recenser ton personnage dans le registre des métiers et ensuite dans celui des logements. dans le cas d'un multicomptes, un petit passage par ce registre est également nécessaire. une fois fait, tu peux désormais ouvrir ton journal de bord, faire un petit tour dans le flood et aller créer tes pré-liens si l'envie t'en prend.
pour passer aux choses sérieuses, sache qu'il y a quelques petits liens utiles qui peuvent t'aider dans ta quête! tu as une idée de lien en tête et tu voudrais la jouer avec quelqu'un déjà présent sur fots? pas de souci, tu peux te rendre sur le sujet de recherche de liens. si, a contrario, tu as envie d'un rp sans lien définit en avance, tu peux tout à fait faire une recherche de partenaires rp ou aller jeter un oeil à la liste des sujets libres.
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Re: sleepless nights · 01/11/21, 10:57 am
on en discute quand tu veux.
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